05 Fév

Rencontre avec Bea Lema, lauréate du Fauve d’Angoulême Prix du public France Télévisions 2024 pour son album Des Maux à dire

Après Chloé Wary, Léonie Bischoff, Léa Murawiec et Sole Otero, le très convoité Fauve d’Angoulême Prix du Public France Télévisions a été remis à Beatriz Lema à l’occasion du dernier Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême. Retour sur un moment important pour la jeune autrice espagnole…

Bea Lema © Vanessa Rabade

Bea Lema est originaire de La Corogne dans le nord-ouest de l’Espagne, mais c’est en France, à Angoulême plus précisément, à l’occasion d’une résidence à la Maison des auteurs, qu’elle a réalisé son premier roman graphique baptisé Des Maux à dire.

Coup d’essai, coup de maître, son album a été retenu dans la sélection officielle 2024 du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême et a reçu le 27 janvier dernier le Fauve d’Angoulême Prix du Public France Télévisions des mains d’un jury composé de lecteurs et lectrices passionnés du neuvième art et touchés par « la poésie graphique » qui se dégage de son album et par son « traitement sensible de la santé mentale ».

Après quelques jours de repos bien mérités auprès de ses amis et de sa famille en Espagne, Bea Lema a accepté de partager avec nous son ressenti autour de cette très belle aventure et de revenir sur cet album singulier, séduisant et à la thématique universelle.

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30 Jan

Angoulême 2024 : un deuxième Prix Schlingo pour les éditions nantaises Rouquemoute

Après Tendre enfance en 2019, la maison d’édition nantaise Rouquemoute rentre d’Angoulême avec une nouvelle fois le Prix Schlingo attribué dans le cadre du Off du Festival International de la Bande Dessinée à Zozo le Clown d’Olivier Besseron.

© Rouquemoute

Le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, qui s’est achevé dimanche 28 janvier, dispose de son programme officiel, de ses invités officiels, de sa compétition officielle et, comme tous les grands festivals, de son off officiel baptisé ici le Off of Off.

Ce Off remet lui aussi son lot de prix, notamment le Prix Couilles au cul récompensant le courage artistique, le Prix Elvis d’Or pour la meilleure BD rock de l’année ou encore le Prix Schlingo. Créé à l’initiative entre autres de l’autrice Florence Cestac, ce prix récompense un album de bande dessinée d’humour ou un auteur affichant une proximité avec l’œuvre de Charlie Schlingo, un auteur de bande dessinée décédé en 2005.

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24 Jan

Festival international de la bande dessinée d’Angoulême : pourquoi y aller ?

Le monde entier, à commencer par celui du neuvième art, s’y donne rendez-vous chaque année, bravant le froid, la neige, la grippe, le covid ou la gastro. Il faut dire que le Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, qui se tiendra cette année du 25 au 28 janvier, a ce petit quelque chose d’unique qui le rend essentiel…

© F3 Pays de la Loire / Eric Guillaud

C’est LE rendez-vous de la bande dessinée en France et au-delà, un festival unique en son genre où se côtoient chaque année des dizaines de milliers de passionnés et de professionnels. Dédicaces, expos, concerts de dessins, rencontres, conférences, projections… Le programme est conséquent. Qu’y faire, qu’y voir ? On vous donne dix bonnes raisons d’y aller faire un tour. Mais il y en a beaucoup d’autres…

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02 Fév

Rencontre avec Sole Otero, lauréate du Fauve d’Angoulême Prix du public France Télévisions pour son album Naphtaline

Elle est argentine, autrice de bande dessinée et de livres jeunesse et depuis peu lauréate du prestigieux Fauve d’Angoulême Prix du Public France Télévisions, rencontre avec la talentueuse Sole Otero qui ne boude pas son bonheur…

Sole Otero sur la scène du théâtre d’Angoulême le 28 janvier 2023 pour la remise de son Fauve Prix du Public France Télévisions • © Antoine Guibert pour FIBD / 9eArt+

Pour tout vous dire, l’affaire n’a pas demandé des heures et des heures de joutes verbales, le jury du Fauve d’Angoulême Prix du Public France Télévisions composé de neuf lecteurs passionnés de bande dessinée a souhaité saluer à l’unanimité le travail de l’Argentine Sole Otero pour son album Naphtaline paru aux éditions ça et là.

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01 Fév

Le 50e : coup d’oeil sur l’histoire du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême

50 ans. Le Festival international de la Bande Dessinée en a vu passer des auteurs, des éditeurs, des grands prix, des livres, des petits bonheurs, des grands clashs, des passionnés, des hommes et femmes politiques, des promesses, des revendications… Philippe Tomblaine en offre un très beau panorama dans ce livre essentiel paru à l’occasion du dernier festival…

Les plus âgés d’entre vous, et j’en fais partie, se souviendront avec une certaine émotion et une pointe de nostalgie du Grand 20e publié en 1993 à l’occasion des 20 ans du festival. Sous une couverture faisant référence aux Alfred et Alph’Art, les ancêtres des Fauve, Hervé Cannet nous offrait pour la première fois un bel historique de l’événement.

Trente ans plus tard, c’est Philippe Tombelaine qui relève le défi. Ce passionné de la première heure, chroniqueur, auteur notamment de monographies consacrées à des auteurs de BD, nous invite dans les coulisses de ce qui est devenu le plus grand rendez-vous BD au monde.

Dans un format de roman graphique, Philippe Tombelaine passe en revue les 50 éditions du festival en s’appuyant sur de nombreuses illustrations, photographies, visuels d’affiches…On y découvre l’histoire avant l’histoire, les Semaines de la bande dessinée puis la Quinzaine de la bande dessinée et du livre de la jeunesse préfigurant le salon qui tiendra sa première édition en 1974 avec une affiche signée Hugo Pratt.

Et tout s’enchaine, les années défilent avec pour chacune d’elles, les invités de marque, les anecdotes, les livres et auteurs primés… Un live à boulotter du début à la fin, en attendant la 100e édition.

Eric Guillaud

Le 50e, de Philippe Tomblaine. PLG & Association FIBD. 20€

29 Jan

Festival International de la BD d’Angoulême 2023: le palmarès complet

Le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême referme ses portes sur un bilan très positif selon les organisateurs en présence d’un public venu en nombre. Quant au palmarès 2023, il est à l’image de cette cinquantième édition, résolument ouvert sur l’Asie, sur la jeunesse et les nouvelles voies du neuvième art…

Le pavillon du manga © Eric Guillaud

 

Grand Prix : Riad Sattouf

Fauve spécial de la 50e édition : Hajime Isayama

Fauve d’honneur : Ryōichi Ikegami

Fauve d’honneur : Junji Itō

Prix Philippe Druillet : La falaise – Manon Debaye (Sarbacane)

Prix Konishi : Sylvain Chollet pour la traduction de Dai Dark – Tome 1 Q Hayashida (Soleil)

Prix René Goscinny – Meilleur scénariste : Thierry Smolderen pour
Cauchemars ex Machina, Dessin de Jorge González (Dargaud)

Prix René Goscinny – jeune scénariste : Mieke Versyp pour
Peau – Dessin de Sabien Clément – Traduction de Françoise Antoine
(Çà et Là)

Fauve jeunesse : La longue marche des dindes de Leonie Bischoff – Kathleen Karr (Rue de Sèvres)

Fauve spécial du grand jury jeunesse : Toutes les princesses meurent après minuit de Quentin Zuttion (Le Lombard)

Fauve polar SNCF : Hound Dog  de Nicolas Pegon (Denoël Graphic)

Fauve de la bande dessinée alternative : Forn de Calç (Extinció Edicions)

Eco-Fauve Raja : Sous le soleil d’Ana Penyas – Traduction de Benoît Mitaine (Actes Sud L’An 2)

Fauve Prix Patrimoine : Fleurs de Pierre de Hisashi Sakaguchi – Traduction d’Ilan Nguyen (Revival)

Fauve Prix du public France Télévisions : Naphtaline de Sole Otero – Traduction d’Éloïse de la Maison (Çà et Là)

Fauve des lycéens : Khat de Ximo Abadía – Traduction d’Anne Calmels et David Schalvelzon (La Joie de lire)

Prix des collèges Académie de Poitiers : Simone de David Evrard et jean-David Morvan (Glénat)

Fauve révélation : Une rainette en automne (et plus encore…) de
Linnea Sterte – Traduction par Astrid Boitel (Les Éditions de la Cerise)

Fauve de la série : Les Liens du sang T.11 de Shuzo Oshimi – Traduction de Sébastien Ludmann (Ki-oon)

Fauve spécial du jury : Animan d’Anouk Ricard (Exemplaire)

Fauve d’or meilleur album : La couleur des choses
Martin Panchaud (Çà et Là)

Quelques prix périphériques 

Prix des libraires de bande dessinée CanalBD : Hoka Hey!  de Neyef (Label 619)

Prix Couilles au cul : l’autrice russe Victoria Lomasko

Prix Elvis d’or de la meilleure BD rock : Kiss the Sky de Mezzo et Dupont ( Glénat)

Prix bdgest de la plus belle couverture : Emem pour Renaissance tome 5 (Dargaud)

Prix Tournesol de la BD écolo francophone : Immonde! d’Elizabeth Holleville (Glénat)

Prix de la BD oecuménique : Le Printemps de Sakura de Marie Jaffredo (Glénat)

Eric Guillaud

25 Jan

Festival International de la bande dessinée d’Angoulême 2023 du 26 au 29 janvier : 10 bonnes raisons d’y aller !

C’est LE rendez-vous incontournable de la bande dessinée en France, l’un des plus grands et réputés au monde, il fête cette année ses cinquante ans. Et si vous cherchez encore une bonne raison pour vous y rendre, vous la trouverez ici…

Obélix sous les Bulles du FIBD 2019 • © MaxPPP – Renaud Joubert

1. C’est la cinquantième édition ! Et rien que pour ça, le festival mérite le détour. Lancé en janvier 1974, on ne parlait pas encore de festival mais de salon de la bande dessinée avec tout de même une envergure internationale fièrement affichée, l’événement rassemble près de 10 000 passionnés et quelques pointures du neuvième art, parmi lesquels Hermann, Jacques Martin, Dany, Tibet, Burne Hogarth, André Franquin, Jean Giraud, Alexis, Gotlib, Claire Bretécher, Harvey Kurtzman. Hugo Pratt signe l’affiche. Coup d’essai, coup de maître, la ville d’Angoulême n’est pas encore la capitale mondiale de la bande dessinée comme le prétendit alors le journaliste d’un grand quotidien national mais elle va s’y atteler pour le devenir !

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28 Nov

Festival d’Angoulême 2023 : les nouveautés et les sélections officielles en un clin d’œil

Le Festival international de la bande dessinée tenait ce matin sa traditionnelle conférence de presse afin de présenter le programme complet de la prochaine édition, une édition exceptionnelle, la cinquantième, qui se tiendra du 26 au 29 janvier 2023…

Les affiches du festival d’Angoulême 2023

Cinquante ans ! Cinquante ans que le festival d’Angoulême nous en mets plein la bulle. Et ce n’est pas fini. Cette nouvelle édition a été imaginée, explique les organisateurs, comme « une préfiguration du futur du Festival. Un futur reposant à la fois sur l’identité et l’héritage culturel de l’événement et des innovations destinées à intégrer les évolutions de la relation du public à la bande dessinée (lesquelles viennent elles-mêmes croiser celles de la société).Il s’agit par conséquent d’initier des développements destinés à s’affirmer dans les années à venir, avec, toujours comme but ultime, de renforcer la fonction de médiateur du Festival au service du 9e art ».

Et les pistes sont nombreuses, notamment cette année verra le jour un quartier manga avec lieu d’exposition et espace scénographié accueillant l’offre éditoriale des éditeurs spécialisés, un quartier jeunesse, un espace autour du marché de l’art, de nouvelles productions sur la chaine Twitch du festival ou sur le compte Tik Tok, des podcasts…

De façon plus classique, le festival fera la part belle aux rencontres, aux expositions (50 ans d’Angoulême, L’Attaque des Titans, Julie Doucet, Marguerite Abouet, Bastien Vivès, Druillet…) et remettra ses traditionnels Fauves. Les albums sélectionnés pour la compétition officielle ont été dévoilés ce matin :

Sélection officielle

Animan, d’Anouk Ricard (Exemplaire)
L’Arabe du futur 6, de Riad Sattouf (Allary)
L’Artiste à mi-temps, de Timothée Ostermann (Sarbacane)
Au-dessus l’odyssée, de Jason (Atrabile)
La Cendre et l’Écume, de Ludovic Debeurme (Cornélius)
La Couleur des choses, de Martin Panchaud (Çà et là)
La Dernière Reine, de Jean-Marc Rochette (Casterman)
Eden, de Sophie Guerrive (2024)
Hoka Hey !, de Neyef (Label 619)
Ils brûlent 1, d’Aniss El Hamouri (6 Pieds sous terre)
L’Institut des Benjamines, d’Anne Simon (Misma)
Je viens de loin mais je repars bientôt, de Smits et Zwart (Même pas mal)
Khat, de Ximo Abadia (La Joie de lire)
La Maison nue, de Marion Fayolle (Magnani)
Le Manoir de Chartwell, de Glenn Head (Delcourt)
La Mer à boire, de Blutch (2024)
Merel, de Clara Lodewick (Dupuis)
Métax, d’Antoine Cossé (Cornélius)
Michel, la fin, les moyens, tout ça…, de Pierre Maurel (L’Employé du moi)
Naphtaline, de Sole Otero (Çà et là)
Peau, de Clément et Versyp (Çà et là)
Petar et Liza, de Miroslav Sekulic Struja (Actes Sud)
Les Pizzlys, de Jérémie Moreau (Delcourt)
Poisson à pattes, de Blonk (Pow Pow)
La Princesse du château sans fin, de Shintaro Kago (Huber)
La Revanche des bibliothécaires, de Tom Gauld (2024)
Roxane vend ses culottes, de Maybelline Skvortzoff (Tanibis)
Le Secret de la force surhumaine, d’Alison Bechdel (Denoël)
Se rétablir #1, de Lisa Mandel (Exemplaire)
Spa, d’Erik Svetoft (L’Employé du moi)
La Terre, le ciel, les corbeaux, de Teresa Radice et Stefano Turconi (Glénat)
T’zée. Une tragédie africaine, d’Appollo et Brüno (Dargaud)
Under Earth, de Chris Gooch (Huber)
Une rainette en automne, de Linnea Sterte (La Cerise)
La Voix de Zazar, de Geoffroy Monde (Atrabile)
Work-life-balance, d’Aisha Franz (L’Employé du moi)

Sélection Éco-fauve Raja

Être montagne, de Jacopo Starace (Sarbacane)
La Forêt. Une enquête buissonnière, de Claire Braud (Casterman)
Immonde !, d’Elizabeth Holleville (Glénat)
Planètes 1, de Makoto Yukimura (Panini)
Sous le soleil, d’Ana Penyas (Actes Sud – L’An 2)
Les Trompettes de la mort, de Simon Bournel-Bosson (L’Agrume)
Vega, de Yann Legendre et Serge Lehman (Albin Michel)

Sélection Fauve Polar SNCF

Colorado Train, d’Alex Inker (Sarbacane)
Le Dormeur, de Rodolfo Santullo et Carlos Aón (Ilatina)
Gauloises, d’Igort et Andrea Serio (Futuropolis)
Hound Dog, de Nicolas Pegon (Denoël)
Lost Lad London, de Shima Shinya (Ki-oon)
Meurtre télécommandé, de Paul Kirchner (Tanibis)
Reckless. Éliminer les monstres, de Sean Phillips et Ed Brubaker (Delcourt)

Sélection Patrimoine

Fabulosas, de Nazario (Misma)
Fleurs de pierre, de Hisashi Sakaguchi (Revival)
Journal, de Fabrice Neaud (Delcourt)
Là-haut, non !, de Filippo Scozzari (Presque Lune)
Love & Rockets : Maggie la mécano, de Gilbert et Jaime Hernandez (Komics Initiative)
Ras le bol, de Cardon (Requins Marteaux-Super Loto)
White Boy, de Garrett Price (2024)

Sélection Jeunesse

Aujourd’hui, de Loïc Froissart (L’Articho)
Ana et l’entremonde 1, de Cy et Marc Dubuisson (Glénat)
Boubou et ses amis, de Yoon-sun Park (Biscoto)
Boys Run the Riot, de Keito Gaku (Akata)
De cape et de mots, de Flore Vesco et Kerascoët (Dargaud)
Félixe et la maison qui marchait la nuit, de Sophie Bédard (La ville brûle)
Les Contrées salées, de Hope Larson et Rebecca Mock (Rue de Sèvres)
Derrière le rideau, de Sara Del Giudice (Dargaud)
Horimiya, de Daisuke Hagiwara et Hero (Nobi Nobi)
La Longue Marche des dindes, de Léonie Bischoff (Rue de Sèvres)
La Concierge du grand magasin, de Tsuchika Nishimura (Le Lézard noir)
Ranking of Kings 1, de Sosuke Toka (Ki-oon)
Récréation, de Victor Hussenot (La Joie de lire)
Le Super Week-end de l’océan, de Gaëlle Alméras (Maison Georges)
The Magic Fish, de Trung Le Nguyen (Ankama)
Toutes les princesses avant minuit, de Quentin Zuttion (Le Lombard)
Violette contre Diablot 1, d’Emilie Clarke (Biscoto)
Voleuse, de Lucie Bryon (Sarbacane)

Sélection Fauve des lycéens

Animan, d’Anouk Ricard (Exemplaire)
Les Pizzlys, de Jérémie Moreau (Delcourt)
Ils brûlent 1, d’Aniss el Hamouri (6 Pieds sous terre)
T’Zée, une tragédie africaine, de Brüno et Appolo (Dargaud)
Naphtaline, de Sole Otero (çà et là)
La Terre, le ciel, les corbeaux, de Stefano Turconi et Teresa Radice (Glénat)
Eden, de Sophie Guerrive (2024)
Khat : journal d’un réfugié, de Ximo Abadia (La Joie de lire)
Poisson à pattes, de Blonk (Pow Pow)
Hoka Hey, de Neyef (Label 619)

Sachez enfin que si vous vous êtes passionné de BD et résidez en Nouvelle-Aquitaine, vous pouvez devenir juré du Fauve d’Angoulême – Prix du Public France Télévisions 2023. Toutes les infos sont ici 

Eric Guillaud 

01 Nov

Utopiales 2022. Le palmarès complet

La 23e édition des Utopiales s’achève ce soir après quatre jours la tête dans les étoiles ou pas loin à explorer les limites, nos limites. Une thématique riche, des débats intenses, des rencontres infinies, des festivaliers venus en nombre, 108.000 selon le festival, 340 séances de dédicaces, 140 conférences, 60 séances de cinéma… et des prix pour couronner le tout.

Prix extraordinaire

 Jean-Pierre Dionnet

Prix littéraires

Prix utopiales : Les Oubliés de l’Amas de Florine Soulas (France), Éd. Scrineo

Prix utopiales jeunesse : Le troisième exode de Daniel Mat (Suisse), Éd. Scrineo

Prix utopiales bd : René·e aux bois dormants d’Elene Usdin (France), Éd. Sarbacane

Mention spéciale du jury (prix bd) : Le Grand Vide de Léa Murawiec (France), Éd. 2024

Prix du meilleur scénario de jeu de rôle

Blues Fighters de Ben Perrot dans l’univers du jeu Chroniques Oubliées aux Éditions Black Book.

Cinéma

Compétition internationale de longs-métrages

Prix du jury : Viking de Stéphane Lafleur (Canada)

Mention spéciale du jury : Unicorn wars d’Alberto Vásquez (Espagne | France)

Prix du public : Maurice le chat fabuleux de Toby Genkel & Florian Westermann (États-Unis | Royaume-Uni | Allemagne)

Compétition internationale de courts-métrages

Prix du Jury : Finito de Patrik Eklund (Suède)

Mention spéciale du jury : New Babylon de Gideon van der Stelt (Pays-Bas)

Prix Canal+ : Finito de Patrik Eklund (Suède)

Prix du public : Finito de Patrik Eklund (Suède)

19 Mar

Festival International de la BD d’Angoulême 2022: le palmarès complet

La 49e édition du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême vient de dévoiler son palmarès 2022 et notamment son Fauve d’Or attribué à Écoute jolie Márcia de Marcello Quintanilha…

Écoute, jolie Márcia de Marcello Quintanilha, Fauve d’Or 2022

 

Fauve d’or :  Écoute jolie Márcia de Marcello Quintanilha aux éditions ça et là

Fauve spécial du jury : Des vivants (éditions 2024) de Raphaël Meltz, Louise Moaty et Simon Roussin.

Prix de la série : Spirou, l’espoir malgré tout (3e partie) d’Émile Bravo aux éditions Dupuis

Prix de l’audace : Un visage familier de Michael DeForge aux éditions Atrabile

Fauve Révélation :  La vie souterraine de Camille Lavaud Benito

Fauve des Lycéens : Yojimbot t.1 de Sylvain Repos aux éditions Dargaud.

Prix du Public France Télévisions : Le grand vide de Léa Murawiec aux éditions 2024.

Fauve Patrimoine : Howard Cruse pour Stick Rubber Baby, aux éditions Casterman

Prix Éco-Fauve Raja : Mégantic, un train dans la nuit d’Anne-Marie Saint-Cerny et Christian Quesnel.

Prix de la bande dessinée alternative : fanzine Bento du collectif RADIO AS PAPER

Fauve Polar SNCF 2022 : L’Entaille d’Antoine Maillard aux éditions Cornélius

Prix René Goscinny – Jeune scénariste :  Raphaël Meltz et Louise Moaty pour l’album Des Vivants dessiné par Simon Roussin aux éditions 2024.

Prix René Goscinny du meilleur scénario d’album : Jean-David Morvan pour Madeleine, résistante

prix Konishi de la traduction de manga : Nathalie Lejeune, pour la traduction de Blue Period de YAMAGUCHI Tsubasa chez Pika Edition

Prix de la Bande Dessinée du Musée de l’histoire de l’immigration : Kei Lam, pour Les saveurs du béton chez Steinkis.

Le Palmarès jeunesse

Prix des écoles d’Angoulême : La sentinelle du petit peuple, tome 1 de
Carbone, Barrau et Forns, Dupuis

Prix des collèges – rectorat de Poitiers : Urbex de Clarke et Dugomier, Le Lombard

Prix des lycées – rectorat de Poitiers : Grand silence de Théa Rojzman et Sandrine Revel, Glénat

Prix d’Angoulême de la BD scolaire : L’enterrement de Laure Leclech

Prix Espoir de la BD scolaire : ANI-mots de Théo Royant-Sanchez

Prix du scénario de la BD scolaire : La chose de Marine Barbery

Prix du graphisme de la BD scolaire : Orpheline de Cathleen Rosaz

Concours #FIBDCHALLENGE : Inbound de Pierre Cesca

Lauréats jeunes talents : Anto Metzger, Diana Vlasa, Vicent Ducamin

Lauréates jeunes talents région : Mathilde Groothaerdt, Manon Ruhrmann, Jade Charlet

Fauve d’Angoulême – Prix jeunesse 8-12 ans : Bergères guerrières de Jonathan Garnier et Amélie Fléchais, Glénat

Fauve d’Angoulême – Prix jeunesse 12-16 ans : Snapdragon de Kat Leyh, Kinaye

Eric Guillaud