24 Juil

Et au milieu de l’Occitanie coule une rivière : le Lot

La rivière Lot traverse la Région Occitanie d’Est en Ouest. Le Lot prend sa source sur le versant sud de la montagne du Goulet en Lozère à 1 300 mètres, dans une zone de tourbières uniques en Europe.

Durant 485 km le Lot traverse divers départements comme la Lozère, l’Aveyron, le Lot pour rejoindre la Garonne à Fumel dans le Lot et Garonne.

Tout le long de ses berges, de ses méandres le Lot nous invite à le découvrir en nous dévoilant ses trésors paysagés, patrimoniaux, gastronomiques, sans oublier l’hospitalité de ses habitants.

En voiture, en croisière, en canoë, en vélo, à pieds, le Lot se laisse approcher et nous propose une pause au rythme de cette rivière de charme qui en réjouira plus d’un.

Les paysages, ici, changent presque à chaque méandre, chaque ville (Mende, Estaing, Cahors, Saint Cirq Lapopie, Villeneuve sur Lot, Fumel….), village nous propose une découverte du patrimoine historique et culinaire ainsi que des rencontres avec les habitants de cette merveilleuse vallée qu’est la vallée du Lot. Rencontres qu’il sera impossible d’oublier car ici l’on sait ce que le mot hospitalité veut dire.

Donc à bientôt sur ou le long du Lot.

19 Juil

Elle s’appelle Magda vivait il y a 10.000 ans et nous fait visiter le Mas d’Azil

Pourquoi ne par profiter de cet été pour découvrir la Grotte du Mas d’Azil, en Occitanie, en suivant Magda, une jeune femme préhistorique, c’est ce que vous propose la Grotte du Mas d’Azil durant 3 soirées d’été.

Salle du Temple Mas d'Azil © Jean-Bernard Tournié

Salle du Temple Mas d’Azil © Jean-Bernard Tournié

Les 25 juillet, ainsi que 1er et 16 août sont l’occasion de faire découvrir aux jeunes enfants, et à nous les adultes le mode de vie des Aziliens qui vécurent il y a 10 000 ans au Mas d’Azil. Une manière ludique et conviviale de mieux connaitre la Préhistoire.

Au cours d’une soirée, petits et grands suivront Magda, qui ne trouvant pas le sommeil, fabrique des outils, sculpte des œuvres d’art, joue de la musique, déambule dans les galeries, confectionne des bijoux… Un médiateur commentera les activités nocturnes de cette jeune fille.

Visite au coeur de la Préhistoire © Jean-Bernard Tournié

Visite au coeur de la Préhistoire © Jean-Bernard Tournié

Au sortir de la Grotte, médiateur et visiteurs partageront un moment convivial sur le parvis de la grotte. Autour d’un feu, en consommant croustades et jus de fruits locaux, ils apprendront l’art de la parure et tenteront de percer le mystère des galets aziliens (mystère)….

Belle et agréable soirée au cœur de l’histoire et au milieu de merveilleux paysages que seule l’Ariège sait nous proposer.

28 Juin

Le célèbre ballet chinois « Rencontre avec le Grand Canal » en France pour 2 representations

Interprété par la Compagnie chinoise de l’opéra et du théâtre de danse d’Hangzhou (80 personnes sur scène dont 54 danseurs). Ce ballet a pour objectif d’éveiller une conscience à la protection du patrimoine culturel et de l’environnement.

Spectacle © Proprety

Spectacle © Proprety

La compagnie, en représentation pour deux dates en France, s’est produite avec le spectacle « West Lake – Enduring Memories of Hangzhou » devant les chefs d’Etat des 20 pays présents au sommet du G20 de 2016 à Hangzhou (Chine).

Spectacle © Proprety

Spectacle © Proprety

Spectacle © Proprety

Spectacle © Proprety

Trois ans de préparation ont été nécessaires à la création de ce spectacle, mis au point par l’équipe ayant réalisé les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques de 2008. Les questions environnementales sont au cœur de cette création, produite par la compagnie Hangzhou Opera & Dance Drama Theatre (HZODDT).

Spectacle © Proprety

Spectacle © Proprety

Les tableaux et scènes se succèdent durant la représentation, mettant en avant le lien entre l’homme et la nature, un message qui a séduit le public local et international. Face à ce succès, la compagnie a ajouté les dates suivantes à sa tournée : le 28 juin à l’Opéra de Nice, le 2 juillet au Palais des Congrès de Paris.

Synopsis

Il y a 2000 ans, la Chine entamait la construction du Grand Canal qui relie Hangzhou et Beijing. Ce-dernier a été classé en 2014 dans la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Hangzhou en est le point de départ. Autrefois, les bateaux de la flotte impériale voguaient sur la route des six provinces, de Beijing vers le sud, en passant par les provinces de Hebei Shandong, Henan, Anhui, du Jiangsu et du Zhejiang pour finalement atteindre la belle ville d’Hangzhou.
Le ballet est divisé en quatre actes :

  1. Les canaux
  2. L’avantage du peuple
  3. La destruction du canal contaminé
  4. La résurrection du Grand Canal.
Spectacle © Proprety

Spectacle © Proprety

A travers ces représentations, l’Office du Tourisme d’Hangzhou souhaite créer des liens entre l’art et le voyage, afin de partager la culture unique de la ville et faire d’Hangzhou une destination reconnue auprès des visiteurs européens.

Hangzhou © Propriety

Hangzhou © Propriety

Hangzhou abrite des sites historiques majeurs et a su prendre le virage de la modernité ; de nombreux sièges sociaux de sociétés se sont installés, tel que le siège du célèbre site internet Alibaba, sur les rives du Canal.

Hangzhou © Propriety

Hangzhou © Propriety

La ville a par ailleurs accueilli en septembre dernier le Sommet du G20. Située à moins d’une heure de train de Shanghai, la ville fait partie des Sept Anciennes Capitales du pays et est notamment célèbre pour ses deux sites inscrits au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, le West Lake et le Grand Canal.

Hangzhou © Propriety

Hangzhou © Propriety

17 Juin

Manchester « la merveilleuse » aux portes de Toulouse

Pré Découverte de Manchester (Grande Bretagne) en annonce de nos prochains reportages ….. Manchester à 2 heures de Toulouse grâce à de nombreux vols notamment avec à la compagnie Flybe. Vols qui permettent de passer un week-end, ou plus, So British.

Manchester, la ville où la gentillesse de ses habitants, leur disponibilité (pour les non anglophones et les autres) ne peut que vous donner envie d’y retourner pour profiter de tous les charmes cachés de cette cité qui nous ouvre ses bras, son cœur.

Un petit avant gout en attendant de découvrir certains lieux plus en détails suite à ma visite de cette cité que je ne connaissais pas et qui m’a surpris de par sa diversité et la gentillesse de ses habitants.

11 Juin

La draperie d’Esch-sur-Sûre

En 1992, l’ancienne draperie de Esch-sur-Sûre, au Luxembourg, a été transformée en Centre du Parc Naturel de la Haute-Sûre (Maison du Parc), et depuis lors elle héberge le centre d’accueil avec une exposition interactive sur le Parc Naturel, un espace de vente de produits régionaux et un musée dédié à la transformation de la laine en drap (filature, tissage, apprêt).

Le Parc Naturel de la Haute-Sûre préserve les vieilles traditions artisanales de la région.

Une corporation de tisserands existait dès le 16e siècle à Esch-sur-Sûre, ses origines vont de pair avec l’invention des premières machines à travailler la laine. En 1807, Martin Schoetter-Greisch installait une machine à fouler (moulin servant au foulage des étoffes de laine, c’est-à-dire à resserrer et à enchevêtrer les fils de laine pour conférer de l’épaisseur et du moelleux au tissu). Dix ans plus tard le premier métier à filer est installé. L’entreprise a été agrandie en 1866, afin d’assurer toutes les étapes de la production du drap.

L’endroit était propice à un tel projet : l’eau de la Sûre livrait une énergie permanente et bon marché. L’entreprise connut par la suite un essor continu. En 1866, la société s’agrandit, et la draperie Schoetter est alors capable d’exécuter sur place toutes les opérations, de la préparation de la laine au tissu fini. Les frères Demuth rachètent la fabrique en 1901 pour 11.000 francs. La spécialité de la maison, le « Tiirtech« , un drap fait d’un mélange de lin et de laine, devient un produit prisé par les paysans. La draperie compte aussi parmi ses clients réguliers l’armée, la police, la gendarmerie et les PTT, ainsi que toutes les administrations de l’Etat qui ont besoin de tissus pour leurs uniformes.

Lors de visites guidées de la draperie (uniquement sur demande), les machines et installations soigneusement restaurées entrent en action.

Autre attrait de la maison du Parc, son exposition sur le Parc Naturel, les visiteurs de tout âge sont informés sur le Parc, ses habitants et son environnement. Les plus jeunes peuvent, dans de petites cabanes et d’une manière ludique, se familiariser avec la faune et la flore locale, ainsi qu’avec des projets spécialement conçus pour eux.

Et pour terminer leur visite, les gourmands pourront à l’aide de la vaste gamme de produits régionaux présents au sein de la petite boutique, créer leur corbeille personnalisée.

27 Mai

Parc Naturel de la Haute Sûre au Luxembourg


Le Parc Naturel de la Haute-Sûre, au Luxembourg, se situe autour d’un lac de 380 hectares, à la fois plus grand réservoir d’eau potable du Luxembourg et cadre d’un tourisme et de loisirs durables. Dans ce lieu naturel il est possible de pratiquer des sports nautiques comme la natation, la plongée ou la voile, et ce au milieu de paysages enchanteurs. Ce Parc est également un lieu d’innovation en matière de qualité de vie des habitants, de protection des ressources et de développement agricole respectueux de l’environnement.

Vue générale du lac et du parc © Jean-Bernard Tournié

Vue générale du lac et du parc © Jean-Bernard Tournié

Son territoire couvre 162 km2 et se distingue par des vallées profondes et étroites, des prés humides, des pentes raides et boisées ainsi que des hauts plateaux exploités comme surfaces agricoles utiles. Un lac de 3,8 km2 se trouve intégré au cœur de ce paysage de moyenne montagne, il assure l’alimentation en eau potable d’environ 70% de la population totale du Luxembourg et attire de nombreux visiteurs.

Chemin de randonnée © Jean-Bernard Tournié

Chemin de randonnée © Jean-Bernard Tournié

C’est pour cette raison que le Parc Naturel de la Haute-Sûre est surnommée la région de l’eau du Luxembourg.

Les visiteurs pourront découvrir le Parc Naturel de différentes façons, au cours de belles randonnées accessibles à tous, dont quelques-unes révèlent des mystères très anciens de la région, en VTT ou en voiture. Avec ses 42 km de rives, le lac est un élément déterminant du paysage. Une excursion en bateau solaire (au cours de laquelle des explications seront fournies) est recommandée pour découvrir la faune et la flore de ce biotope.

Petite crique © Jean-Bernard Tournié

Petite crique © Jean-Bernard Tournié

Le siège et le bureau d’information du Parc Naturel se trouvent aujourd’hui à proximité du barrage à Esch-sur-Sûre. L’ancienne draperie, dont les machines à tisser et à filer fonctionnent aujourd’hui encore lors de visites guidées au musée, abrite la Maison du Parc qui coordonne des projets destinés à promouvoir les intérêts écologiques, économiques, culturels et touristiques en harmonie avec la nature et la population, le visiteur.

Le lac, la forêt © Jean-Bernard Tournié

Le lac, la forêt © Jean-Bernard Tournié

En 2010, les activités du Parc Naturel de la Haute-Sûre étaient récompensées par le prix EDEN (European Destination of Excellence).

Nature © Jean-Bernard Tournié

Nature © Jean-Bernard Tournié

Une visite incontournable lorsque l’on est au Luxembourg.

21 Mai

Parc Naturel de l’Albufera de Valencia à 1h30 de Toulouse

A moins de 8 kilomètres de Valencia une merveille écologique unique s’offre à nous. Le Parc Naturel de l’ALbufera est le plus grand lac d’Espagne relié à la Méditerranée et une des zones humides les plus importantes de la péninsule ibérique. Un site de grand intérêt écologique où viennent hiverner des espèces uniques d’oiseaux aquatiques qu’il est possible d’admirer en se promenant en barque.

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Au départ, dans l’Antiquité, l’Albufera formait une baie mais fut colmatée petit à petit par les sédiments des fleuves Júcar et Turia, qui la séparèrent de la mer à l’époque romaine. La superficie du lac était alors d’environ 30.000 hectares, mais, au fil des ans, cette surface s’est restreinte par la création de zones destinées, en particulier, à la riziculture pour représenter aujourd’hui 3000 hectares.

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Ce lac est inscrit sur la liste des zones humides d’importance internationale (Convention de Ramsar). Il a également été déclaré zone ZPS (zone de protection spéciale pour les oiseaux).

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

La zone concernée par cette déclaration comprend le lac de La Albufera, son environnement humide, ainsi que le cordon littoral Dehesa del Saler.

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac de La Albufera s’est formé à partir de l’affaissement d’environ 30 kilomètres du cordon littoral entre Valence et Cullera.

Le profil de La Albufera est irrégulier, avec un diamètre approximatif de 6 kilomètres dans sa partie la plus large. La communication entre le lac et la mer est assurée par des canaux ou goulets qui s’ouvrent et se ferment à l’aide de vannes, pour modifier ainsi le volume des eaux du lac.

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

La Albufera contient six îlots : la  » Mata del Fang « , la  » Mateta de Baix « , la  » Mata de la barra « , la  » Mata de L’Antina « , la  » Mata de San Roc  » et la  » Mata del Rey « . On a également retrouvé des vestiges laissés par ses tous premiers occupants

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Le lac sa flore, sa faune sauvage © Jean-Bernard Tournié

Ses riches eaux ont traditionnellement fait vivre les pêcheurs et les cultivateurs de riz, le riz sans qui la paella n’aurait jamais vu le jour, et sont à l’origine d’une succulente gastronomie qu’il est possible de déguster à Valencia mais également à El Palmar, cadre qui inspira de nombreuses œuvres de Blasco Ibáñez.

Le port départ des balades en barques © Jean-Bernard Tournié

Le port départ des balades en barques © Jean-Bernard Tournié

Vous pourrez y découvrir des plats traditionnels valenciens comme la Paella, « el Arrós a Banda » ou le « All i Pebre » préparé avec des anguilles du lac.

Le riz © Jean-Bernard Tournié

Le riz © Jean-Bernard Tournié

Après, ou avant le repas, rien de mieux qu’une promenade paisible en barque dans la Albufera, le meilleur moment étant la fin de journée pour contempler les tonalités rougeâtres et dorées du coucher de soleil sur les eaux.

Batelier © Jean-Bernard Tournié

Batelier © Jean-Bernard Tournié

Le port © Jean-Bernard Tournié

Le port © Jean-Bernard Tournié

Vous pouvez également profiter de votre promenade dans le Parc naturel de l’Albufera et faire une visite complète de celui-ci ainsi que la découverte des écosystèmes des rizières.

Barque traditionnelle © Jean-Bernard Tournié

Barque traditionnelle © Jean-Bernard Tournié

La nature dans toute sa sampleur aux portes de Valencia et Toulouse qui n’est qu’à 1h30 du Parc avec easyjet.

15 Mai

Vianden Luxembourg un trésor médiéval à moins de 2h de Toulouse

Il existe un petit pays, proche de nos régions, peu connu et qui pourtant mérite que l’on s’y attarde. De part son histoire, ses paysages, sa gastronomie le Luxembourg est un pays riche où il fait bon passer des vacances et ce qui ne gâche rien… au Luxembourg la langue officielle est le français.

Parmi tous les trésors que cache le Luxembourg le château médiéval de Vianden est un site incontournableConstruit entre le 11e et 14e siècle sur les assises d’un castel romain puis d’un refuge carolingien, il est une des plus grande et plus belle résidence féodale de l’époque romane et gothique d’Europe.

L'imposant château de Vianden © Jean-Bernard Tournié

L’imposant château de Vianden © Jean-Bernard Tournié

Mais avant de parler du château arrêtons nous au village de Vianden qui se trouve aux pieds de cette demeure. Ce joli petit village médiéval est un bijou ou séjourna Victor Hugo dont la maison, devenue musée, se visite. Village qui a su préserver son patrimoine et qui mérite lui aussi de beaux moments de promenades.

Le village de Vianden © Jean-Bernard Tournié

Le village de Vianden © Jean-Bernard Tournié

Le village © Jean-Bernard Tournié

Le village © Jean-Bernard Tournié

Le château et le village dans le reflet de la rivière © Jean-Bernard Tournié

Le château et le village dans le reflet de la rivière © Jean-Bernard Tournié

Le Château

Jusqu’au début du 15e siècle, il était la demeure des puissants Comtes de Vianden qui pouvaient se vanter de leurs relations étroites avec la cour impériale et dont le plus glorieux, Henri Ier (1220-1250), avait comme épouse Marguerite de Courtenay, proche parente des Capétiens, rois de France. En 1417, le comté et le château furent légués par héritage à la branche cadette de la maison (allemande) de Nassau, qui, en 1530, recueilli également la principauté française d’Orange.

Cour d'honneur © Jean-Bernard Tournié

Cour d’honneur © Jean-Bernard Tournié

La chapelle et les deux logis seigneuriaux, comme pièces les plus remarquables du château, ont été réalisées vers la fin du 12eme jusqu’au commencement du 13e siècle. Le quartier des Juliers à l’ouest du logis seigneurial majeur, aujourd’hui disparu, datait lui du début du 14e siècle, alors que le quartier Nassau, que nous voyons aujourd’hui, fut érigé seulement à partir du 17e siècle.

La chapelle extérieur © Jean-Bernard Tournié

La chapelle vue de l’extérieur © Jean-Bernard Tournié

La chapelle intérieur © Jean-Bernard Tournié

La chapelle de l’intérieur © Jean-Bernard Tournié

Déchéance et Renaissance

En 1820, sous le règne de Guillaume Ier d’Orange-Nassau, roi des Pays-Bas et grand-duc de Luxembourg, comte de Vianden, le château fut vendu et laissé à l’abandon pour finir à l’état de ruine.

Salle Byzantine © Jean-Bernard Tournié

Salle Byzantine © Jean-Bernard Tournié

Le château échut en 1890 au grand-duc Adolphe de la dynastie de Nassau et resta à partir de cette date propriété de la famille grand-ducale jusqu’en 1977, où il devint, par acte de vente, domaine de l’état luxembourgeois.

Petite salle à manger © Jean-Bernard Tournié

Petite salle à manger © Jean-Bernard Tournié

Rénové et reconstruit depuis-lors, tout en respectant le style historique, le château est aujourd’hui un monument majeur européen.