03 Juin

Turquie, manifestations et Internet #1 (Le 3/5/2013)

Lire aussi : « Turquie, manifestations et Web (Le 4/5/2013) »

#occupygezi.  « La menace aujourd’hui s’appelle Twitter. C’est là que se répandent les plus gros mensonges. Les réseaux sociaux sont la pire menace pour la société ».  Manifestement, le Premier ministre turc Erdogan n’aime pas les médias sociaux. (@RTBFinfo).

Twitter et les manifestations en Turquie. Les manifestations monstres autour de la place Taksim à Istanbul puis d’autres villes turques ont été suivies de près par le monde entier grâce à Twitter. Cet épisode semble signaler un nouveau record et  une nouvelle preuve du pouvoir catalyseur d’un réseau social dans un moment de tension politique. (@atlantico_fr).

Légende image. Deux jeunes femmes tentent de se protéger des gaz lacrymogènes tirés par la police turque à Ankara. Photo Firat Yurdakul / AFP.

« Twitter et les réseaux sociaux montrent l’attitude timide et soumise de la presse turque ». Historien et politologue franco-turc, professeur à Strasbourg et à Istanbul, Samim Akgönül dénonce la couverture des manifestations faites pas les médias turcs et… les autres. (@Slatefr)

Sur Twitter, une phrase circule : « Les Frères musulmans parlent de suivrent le modèle turc, mais les Turcs choisissent de suivre le modèle Tahrir ».

La Turquie interdit 138 mots sur Internet. Les Turcs ne pourront plus écrire « histoire » ou « belle-soeur » sur Internet, deux mots hautement dangereux d’après l’autorité qui gère les télécoms et la communication dans le pays. (@Slatefr)

Légende image. Ankara, le 1er juin. Photo Umit Bektas / Reuters.

Revue de Tweets. #occupygezi et #Turquie.