14 Nov

Enedis forme ses techniciens avec la… réalité virtuelle

Enedis utilise des masques de réalité virtuelle pour former ses techniciens. Ces derniers apprennent et répètent les gestes techniques en toute sécurité avant d’aller sur le terrain. Une formation 3D développée par une start-up de Gaillac (Tarn), Numix.

© Numix

© Numix

Contrairement aux idées reçues, les casques de réalité virtuelle ne sont pas réservés uniquement aux passionnés de jeux vidéo. Les applications professionnelles se multiplient.

Après Revinax, nouvel exemple avec la start-up NUMIX, basée à Gaillac dans le Tarn. Elle a crée un environnement virtuel pour former les 4500 agents d’Enedis (ex-ERDF) en charge du réseau de distribution d’électricité en France.  

Les 7 salariés de Numix ont reproduit en 3D et à l’identique, l’intérieur d’un transformateur électrique haute-tension. Les techniciens d’Enedis peuvent ainsi, apprendre ou répéter les gestes techniques en toute sécurité, avant d’aller sur le terrain. 

Cette formation virtuelle comporte plusieurs scénarios dont des situations dangereuses. « On va pouvoir déclencher des court-circuits ou des électrifications » précise Jeff Sebrechts, cofondateur de Numix.

Enedis prévoit aujourd’hui de déployer ce stage de réalité virtuelle sur l’ensemble de ses sites français.

>> Découvrez en image cette formation virtuelle avec le reportage de Denis Tanchereau et Jack Levé – France 3 Midi-Pyrénées – Novembre 2017 : 


Formation virtuelle pour les agents d’Enedis

Julien Leroy

10 Nov

La 4G couvre (intégralement) le métro de Toulouse, une première en France

Le métro toulousain devient 100% connecté, ce vendredi 10 novembre. Toulouse est désormais la première ville française où le métro est intégralement couvert par une couverture téléphonique haut débit. Une innovation pour les millions de voyageurs.

© Sigrid Olsson / MaxPPP

© Sigrid Olsson / MaxPPP

« Vendredi 10 novembre, il sera possible de consulter ses mails, d’envoyer un sms, de faire un tweet, d’envoyer une vidéo… assis dans le métro toulousain ! » assure la mairie de Toulouse.

Le métro toulousain devient connecté, comme à Paris. Il est désormais couvert en très haut débit mobile (en 2G, 3G et 4G), et ce par tous les opérateurs, sur les 2 lignes A et B et les 38 stations. Un sacré bond en avant pour la ville rose qui possédait la plus mauvaise couverture mobile de l’hexagone.

Une première en France
Toulouse devient la première ville française à couvrir intégralement son réseau de transport en commun souterrain. D’autres villes ont également engagé cette connexion comme à Rennes ou Paris. Dans la capitale, la couverture totale des 320 stations prend du temps et a été repoussée à fin 2017.

L’arrivée de la 4G dans le métro toulousain est un véritable événement pour les utilisateurs. Sur Twitter, plusieurs internautes ont commencé à répondre au hastag #Mon1ertweetDansLeMetro, imaginé par les service de communication de la mairie.

Julien Leroy

08 Nov

Toulouse ne sera pas la prochaine capitale européenne de l’innovation (mais retentera sa chance)

© Dominique Viet / Toulouse Métropole

© Dominique Viet / Toulouse Métropole

Toulouse ne sera pas la prochaine capitale européenne de l’innovation.

La Commission européenne a préféré désigner Paris, ce mardi 7 novembre lors du Som­met du Web de Lis­bonne. Tal­linn (Es­to­nie) et Tel-Aviv (Israël) ar­rivent respectivement en 2e et 3e place.

Pré-sélectionnée en juin dernier parmi 33 villes européennes, Toulouse faisait parti des 10 finalistes avec Berlin, Copenhague ou encore Nice.

« C’était une première » réagit Bertrand Serp, adjoint à la mairie de Toulouse en charge de l’innovation et du numérique. « Nous avons manqué de préparation. Nous recommencerons l’année prochaine avec la volonté de gagner ! » assure-t-il.

Julien Leroy

07 Nov

Rubix, le boitier toulousain qui analyse la qualité de l’air, les odeurs et les bruits

Une odeur de moisi dans le bureau ? une fuite de gaz ? un bruit suspect ? « Rubix Pod » analyse la qualité de l’air, les odeurs et mêmes les bruits. Conçu par une start-up  de Toulouse, ce boitier connecté est train de conquérir le monde, de Los Angeles à Bangkok.

© France 3 Occitanie

© France 3 Occitanie

Quelle est la qualité de l’air autour de vous, dans la rue ou dans les environnements clos, comme votre bureau ? La start-up toulousaine Rubix vient de lancer la commercialisation de son « Rubix Pod ».

Ce boitier connecté est un appareil de mesure de la qualité de l’air et des nuisances sonores. Il mesure les molécules présentes dans l’air et sait reconnaître les sons et les odeurs qui nous entoure.

Une innovation qui intéresse déjà la ville de Los Angeles aux Etats-Unis. Elle cherche à identifier les bruits et notamment les tirs d’armes à feu. Rubix sait reconnaître jusqu’à 67 armes différentes.

Conçue à Toulouse, ce boitier à tout faire sert également à améliorer les conditions de travail d’un bureau. « Il permet de mesurer les nuisances du poste de travail (..) qui peuvent impacter la santé et la productivité des collaborateurs » explique Jean-Christophe Mifsud, fondateur de Rubix.

Rubix Pod peut ainsi détecter les odeurs de moisie, un pic aux acariens, un manque de lumière, une pollution intérieur. Et à chaque fois, l’objet connecté identifie la source dès que le seuil est dépassé. Un message d’alerte est ensuite envoyé en indiquant les mesures à prendre.

A la conquête du monde

Du haut de ses 6,5 cm sur 14 cm de large, « Rubix Pod » est en train de conquérir le monde : Europe du Nord, Asie, Etats-Unis,… Bangkok va en installer plusieurs centaines dans ses rues pour analyser l’air.

La start-up toulousaine prévoit également de le miniaturiser afin de l’intégrer dans une montre permettant de vérifier la fraîcheur des aliments.

>> Découvrez en image Rubix Pod avec le reportage de Denis Tanchereau – France 3 MidiPyrénées – Novembre 2017 : 


Rubix, le boitier toulousain qui analyse la qualité de l’air, les odeurs et les bruits

Julien Leroy

06 Nov

La start-up toulousaine Coovia veut booster le covoiturage domicile-travail dans les entreprises

Coovia bascule progressivement vers le marché B to B. La start-up toulousaine spécialisée dans le covoiturage des trajets du quotidien, mise (de plus en plus) sur le marché des entreprises. Au 1er janvier 2018, ces dernières doivent proposer des transports alternatifs à leurs salariés. 

© VACHER Philippe / MaxPPP

© VACHER Philippe / MaxPPP

Surnommé le « Blablacar » des trajets réguliers, le toulousain Coovia négocie, sans surprise, un virage B to B.

Dés sa création en 2012, l’application s’adresse à la fois aux particuliers et aux entreprises en quête d’une solution de locomotion combinant covoiturage et transport en commun, sur des trajets courts ou quotidiens. 

Rapidement, des grandes entreprises de la ville rose telles qu’Airbus ou SMTC, adoptent Coovia pour favoriser les trajets domicile-travail de leurs salariés.

Coovia veut profiter du nouveau « plan de mobilité » des entreprises

Or ce marché des entreprises va s’accélérer à partir du 1er janvier 2018. Les entreprises de plus de 100 salariés doivent mettre en place un « plan mobilité ». Votée au printemps 2017, celle nouvelle loi oblige les entreprises à proposer des transports alternatifs à l’usage de la voiture individuelle. 

« Sur le territoire toulousain, environ 500 entreprises sont assujetties à ce plan » précise Laurène Dia, responsable des partenariats chez Coovia. 

Face à un marché du covoiturage domicile-travail de plus en plus concurrentiel, Coovia espère ainsi continuer sa croissance.

Créée par David Larcher, un ancien salarié d’Airbus excédé par les embouteillages toulousains, la start-up compte aujourd’hui 10 salariés et plus de 7000 utilisateurs. Des extensions vers Montpellier et Bordeaux sont également en projet.  

Julien Leroy

05 Nov

Flybot, le robot toulousain qui dialogue (avec vous) pour trouver le meilleur billet d’avion

Flybot est le premier robot intelligent pour la réservation en ligne de billet d’avion. Conçu par deux jeunes toulousains de 22 et 24 ans, il suffit de dialoguer, via Facebook, avec ce nouveau compagnon de voyage, pour trouver le vol le moins cher. Plus besoin de passer des heures sur les sites de comparateurs.

© Philippe Turpin / MAXPPP

© Philippe Turpin / MAXPPP

L’utilisation de Flybot est très simple. Inutile de télécharger une application.

Il suffit simplement de dialoguer avec ce robot intelligent via la messagerie privée de Facebook et de répondre à ses questions (destination, date du voyage, nombre de personnes,…). En moins d’une minute, il vous trouve « le vol le moins cher d’internet » assure Thibault Descombes, le fondateur et diplômé de l’école TBS à Toulouse. 

« Pour acheter un billet d’avion, on passe actuellement soit par un comparateur de vols, soit par une compagnie aérienne, soit par une agence de voyage » explique le jeune toulousain de 22 ans. « Flybot va chercher sur ces 3 catégories, soit environ 500 sites« . Bref, Flybot est un chatbot qui cherche (à votre place) sur tous les sites de voyage. Un concept unique en France. 

« Plus besoin de passer des heures sur les sites de comparateurs pour trouver le vol le moins cher » précise Thibault Descombes qui a eu l’idée en cherchant un billet pour des vacances en Asie. D’autant plus, « nous savons qu’un même billet le prix peut parfois varier jusqu’à 100 euros ». 

Le service est totalement gratuit pour l’utilisateur. Le modèle économique repose sur des partenariats avec les acteurs du secteur, notamment avec le site de comparateur Skyscanner

Mis en ligne fin octobre, l’innovation toulousaine totalise (déjà) plus « de 5500 utilisateurs » selon Thibault Descombes et son développeur informatique.  

L’objectif est « d’ici 1 an, d’être la référence dans le domaine de l’intelligence artificielle concernant la réservation en ligne. Il sera donc possible de réserver son vol, son hôtel et ses activités grâce à Flybot » espère son concepteur. En attendant, il cherche à rentrer dans un incubateur de start-up de la ville rose.

>>> Pour tester FlyBot : www.facebook.com/flybotFR

Julien Leroy

04 Nov

A Toulouse, retransmission sur écran géant de la finale des championnats du monde de « League of Legends »

La finale des championnats du monde du jeu vidéo « League of Legends » a été retransmise, en direct, à Toulouse ce samedi 4 novembre au VillagebyCA. Reportage.

EPA/PAUL ZINKEN / MaxPPP

EPA/PAUL ZINKEN / MaxPPP

Ce samedi 4 novembre, les deux meilleures équipes de la finale des championnats du monde du jeu vidéo « League of Legends », se sont s’affronter à Pékin, pour le titre suprême et un prix d’une valeur de 1 millions d’euros.

C’est l’équipe Samsung Galaxy qui l’a emporté,en battant les double tenants du titre, le SK Telecom T1.

A cette occasion, les deux start-up toulousaines spécialisées dans le e-sport, Betters’ Rift et Atelier Pop Culture, proposaient aux fans et aux curieux, de suivre le match en direct, sur un écran géant. Le rendez-vous était donné au VillagebyCA  situé au 31 Allée Jules Guesde à Toulouse.

Ce n’est pas la première fois que ce type d’événement est organisé dans la ville rose. En 2015, la même finale avait attiré plus de 3000 fans lors d’une retransmission au Zénith. Deux tournois nationaux autour de League of Legends avaient également eu lieu fin 2016.

Sortie en 2009, « League of Legends » est un jeu vidéo de bataille édité par le Chinois Tencent Holdings. Il sʼagit dʼune arène de bataille en ligne multijoueur associant jeu de stratégie en temps réel et jeu de rôle. League of Legends est devenu rapidement un phénomène planétaire, notamment chez les gamers de l’e-sport. Le jeu totalise plus de 100 millions de joueurs en ligne.

>>> Une de nos équipes de France 3 Toulouse (Julie Valin & Eric Cooverits) a suivi la retransmission :


A Toulouse, retransmission de la finale des championnats du monde de « League of Legends »

Julien Leroy

28 Oct

Psychiatrie : le youtubeur gersois qui fait témoigner les « fous »

Clément Charron, réalise des vidéos sur la psychiatrie. Etudiant infirmier à Toulouse, il met en scène des témoignages de personnes atteintes de maladies mentales ou victimes de harcèlement. L’objectif est de casser les préjugés sur cette discipline médicale. Il totalise plus de 250.000 vues.

© World Of Clarence

© World Of Clarence

Créer une chaîne YouTube sur la psychiatrie. Clément Charron a eu l’idée en novembre 2016, lors d’un stage en 2e année d’infirmier dans un hôpital psychiatrique.

Acteur et passionné de théâtre, ce gersois de 23 ans décide alors, de réaliser une web-série relatant les histoires de patients schizophrènes, dépressives, nymphomanes ou surdoués. 

Je vous propose de découvrir le monde clos de la psychiatrie depuis l’intérieur, un microcosme fascinant victime de nombreux préjugés. Le youtubeur Clément Charron

« Je mets en scène les témoignages de personnes atteintes de maladies mentales (psychoses, nymphomanie, dépression, « surdouance »,…) ou victimes d’événements particuliers (viol, harcèlement,…) » raconte le jeune youtubeur.

Les malades écrivent eux-mêmes le texte. L’étudiant l’interprète anonymement en jouant sur les costumes et les effets spéciaux. L’ensemble est supervisée par la personne témoin. Le résultat est à la fois fascinant et troublant.

Il existe des youtubeurs similaires mais l’approche de Clément Charron est unique en France.

Un an après sa première vidéo, sa chaîne « World of Clarence » totalise plus de 250.000 vues, 8000 abonnés et des dizaines de témoignages.  « Je publie une fois tous les 15 jours » précise-t-il.

Ses vidéos sont utilisées comme support de cours

L’objectif du youtubeur est de « démystifier la psychiatrie » en faisant « découvrir ce monde clos (..) depuis l’intérieur, un microcosme fascinant victime de nombreux préjugés » résume-t-il

L’étudiant infirmier veut ainsi s’adresser « aux professionnels, aux étudiants, aux novices et aux familles de victimes« .

La communauté médicale commence à l’écouter. « Mes vidéos ont été utilisées dans le cadre de cours magistraux dans certaines écoles d’infirmières et ma propre école m’a demandé d’y donner des cours une fois que je serais diplômé » liste le jeune homme.

Si vous souhaitez le rencontrer, Clément Charron animera une conférence sur son travail, ce dimanche 29 octobre à Lectoure, dans le cadre du festival « Bizarre, vous avez dit Bizare ?« 

Sinon, vous pouvez découvrir sa chaine YouTube « Worl of Clarence »

Julien Leroy

25 Oct

Le coup de gueule du club de football amateur de Saleich (Haute-Garonne) fait le buzz

Dans le Comminges, les footballeurs du club amateur de Saleich ont décidé de rire de leurs (très) mauvais résultats sur le terrain, en postant une vidéo satirique. Le coup de gueule fait le buzz sur Facebook.

© Football Club Saleichois

© Football Club Saleichois

L’équipe senior du club de football du village de Saleih, situé dans le Comminges (Haute-Garonne), est lassée de « prendre des tannées » chaque semaine. Les premiers matchs de la saison se sont soldés par des scores dignes d’un match de tennis : 6-0, 1-6, 6-0,…

Un début de saison catastrophique qui s’explique (en grande partie) par le niveau de jeu de leur championnat.

En effet, le FC Saleichois évolue dans la 12e division de football (Promotion de première division du district Midi-Toulousain). Un niveau jamais atteint par l’équipe amateur qui jouait, l’année dernier, dans la division inférieure. Une montée obtenue grâce à la réforme des districts de Haut-Garonne. L’instance Midi-Toulousain a fusionné cet été, avec celle du Comminges.

C’est pourquoi, Saleich affronte des équipes toulousaines plus expérimentées. Alors que le club Commingeois compte seulement une vingtaine de licenciés.

« D’autant que si c’était que nous qui étions nul, on ne se poserait pas autant de questions. Mais toutes les équipes commingeois prennent très chères en ce début de saison » précisent les auteurs de la vidéo.

Une vidéo pour rire et… dénoncer

Lassé de prendre des raclés sur le terrain, le FC Saleichois a eu l’idée de réaliser une vidéo satirique. L’idée est d’en rire mais également de dénoncer la situation. « Bon, les principaux visés s’en contrefoutent certainement, mais si cette vidéo arrive jusqu’à leur attention…au moins qu’ils sachent » raconte le club.

En attendant, le coup de gueule trouve écho sur les réseaux sociaux et dans les médias locaux. Postée le 18 octobre dernier, la vidéo totalise à ce jour, plus de 27.000 vues.

Pour la découvrir :

Julien Leroy

Opérations (gratuites) pour sensibiliser les Toulousains à la sécurité informatique

Sensibiliser les particuliers à la sécurité informatique et à la protection des données numériques. C’est l’objectif de deux événements organisés à partir de ce mercredi 25 octobre à Toulouse : l’opération « Ma ville sans virus » et la journée « cryptoparty ». 

© Alexandre MARCHI. / MaxPPP

© Alexandre MARCHI. / MaxPPP

Toulouse participe à l’opération « Ma Ville sans virus »

L’opération « Ma Ville Sans Virus » se déroule du 25 au 27 octobre 2017, dans une douzaine de villes françaises dont Toulouse.

Organisés par les revendeurs du spécialiste de logiciels de sécurité, ESET, l’objectif est de « sensibiliser les particuliers aux risques d’une mauvaise hygiène informatique et leur donner de précieux conseils pour protéger leurs appareils connectés » précise le communiqué de presse.

Ainsi, le particulier peut profiter d’une analyse gratuite de ses appareils (PC, tablette…) afin de détecter la présence de cybermenaces (cheval de Troie, spyware, virus, ransomware…).

Dans la ville rose, le magasin d’informatique « Mediaclic Pro » participe à l’opération du 25 octobre matin au samedi 4 novembre matin.

« Ma Ville Sans Virus » est évidemment une opération de marketing mais aussi une initiative citoyenne. 

En France, plus de 13 millions de Français ont été victimes d’une cyberattaque, selon un rapport 2016 de l’antivirus Norton by Simantec. « Les utilisateurs n’ont pas conscience de la valeur de leurs données et restent très négligents quant à la sécurité de leurs appareils connectés » affirme les équipes d’ESET.

Protégez vos données numériques avec Cryptoparty

« Protégez votre vie privée sur Internet« , c’est également le slogan de la Cryptoparty.

La prochaine édition se déroule ce samedi 28 octobre à la Médiathèque Cabanis de Toulouse, de 14h00 à 18h00.

« C’est un événement pour s’informer, partager et se former à la protection de sa vie privée et à la préservation de nos libertés » expliquent les organiseurs, tous professionnels de la sécurité informatique.

L’entrée est libre et s’adresse à tout le monde. Du geek au débutant en passant par les professionnels et les enfants. Le programme est à découvrir sur cette page

Julien Leroy