22 Mar

Les meilleurs représentants de l’école du polar de Limoges : Franck Linol et Joël Nivard dans « 9h50 le matin » !

Franck Linol signe l’excellent « Le souffle de la Mandragore »…

« Le ciel se couvrait et le soleil n’éclairait plus que l’horizon. Soudain, alors qu’il allait faire demi-tour, son regard fut attiré par une vision insolite. Sur sa gauche et légèrement en contrebas, il aperçut, sur le sommet acéré d’un rocher, ce qui pouvait ressembler à des vêtements qui auraient été jetés, là. On distinguait des couleurs dans les rouges et dans les bleus. Damien décida d’aller voir. Il lui fallait escalader quelques monticules, puis redescendre un peu pour atteindre la cible. Plus il avançait, plus la vision se faisait précise. Il voyait à présent comme un agrégat de lambeaux de tissus. C’était la couleur rouge qui dominait. » Sur la commune de Buissière, La Butte de Frochet est un endroit mystérieux où, selon la légende, vivait la terrifiante Mandragore, dragon avide de jeunes filles.

Alors que le commissaire Dumontel est suspendu de ses fonctions, il est entraîné malgré lui dans une histoire étrange où se croisent des chamanes, des gourous et des familles « yourtistes ». Le 9e opus de la série, qui flirte avec le fantastique, n’a pas fini de vous surprendre…

Joël Nivard signe un de ses meilleurs romans noirs : « Sans-cible »…

Le commissaire Larcin est un grand flic. Une carrière professionnelle exemplaire. Une vie sans histoire. Une femme belle, des enfants sans soucis. Des perspectives d’avenir plutôt prometteuses. C’est une référence dans la police. Seulement voilà, le commissaire Larcin se suicide sur son lieu de travail avec son arme de service.

Alors, tous les équilibres basculent.

Des séries d’attentats émaillent la ville. Des tracts d’une organisation extrémiste sont retrouvés sur les lieux. Un journaliste succombe dans un incendie criminel. Les affaires ont des côtés obscurs, et les hommes qui les font, des passés douteux.

Quoi de neuf ? Qui mène la danse ? Qui a la main dans ce jeu de massacre ? Et si c’était une histoire d’amour ? Une dernière ligne droite pour le commissaire Varlaud. Un dernier blues pour la route.