19 Sep

Tous à vos bouquins (surtout les ados des Hautes-Pyrénées) !

Winter cabin

Si vous avez entre 11 et 15 ans ou que vous connaissez des ados de cet âge, c’est le moment ou jamais de vous plonger (ou de les inciter à le faire) dans des nouveaux livres… surtout si vous allez au collège dans les Hautes-Pyrénées ou que vous êtes inscrit dans une bibliothèque ou fréquentez une librairie du département.

Le 7eme prix ados « Hautes-Pyrénées tout en auteur » est en effet lancé.

Le principe est simple, il faut lire au moins trois des cinq livres nominés et voter pour son préféré. Si en plus vous envoyer une création inspiré de ce livre vous pouvez gagner des chèques-lire. Ce peut être un poème, un dessin, un texte, un collage, une photo, à vous de laisser parler votre imagination.

Les bulletins doivent être renvoyés avant la fin mars, vous avez donc 6 mois pour bouquiner. Ils sont disponibles dans les bibliothèques, les librairies, les CDI, sur sur le site du Conseil général.

En mai, une série de rencontre entre collégiens et auteurs est organisée dans le département.

Plus de renseignements sur le site du conseil général.

Les romans sélectionnés pour le prix des ados :

Selection 11-13 ans :
• L’enfant du trottoir d’en face de Marc Cantin. iIllus. Jean-François Saada – Oskar éditeur, 2014
• La voix de la meute : les remplaçants (Tome 1) de Gaia Guasti. illus Blexbolex -Thierry Magnier, 2014
• L’homme à la voiture bleue de Sébastien Gendron -Editions Syros (Rat noir), 2014
• Vertical d’Alain Grousset. illus. Yann Tisseron – Flammarion jeunesse, 2013.
• Yakusa Gokudo : les otages du Dieudragon ( Tome 1) de Michel Honaker. illus. Aurélien Police – Flammarion, 2013

Sélection 13-15 ans :
• La fille seule dans le vestiaire des garçons d’Hubert Ben Kemoun . illus. Sébastien Pelon – Flammarion, 2013
• Un amour peut en cacher un autre de Stéphane Daniel. illus. de Sophie Palhares– Rageot Editeur, 2013
• Bacha Posh de Charlotte Erlih. illus. Ton Koene/Gamma – Actes Sud junior, 2013
• Le suivant sur la liste de Manon Fargetton. illus. Paul Gooney – Rageot Editeur (Thriller), 2014
• C.H.A.R.L.E.x de Danielle Martinigol. Editions Syros ( Soon), 2013

18 Sep

Deux Toulousains dans la course au Femina

Après la course au Médicis et au Welter, voici… la course au Femina. Et oui, c’est que la saison des prix littéraires se rapproche diablement. Les jurées (le jury du Femina est composé exclusivement de femmes) ont dévoilé ce mercredi soir leur première sélection de 13 romans français et 14 étrangers. Et dans la sélection, deux Midi-Pyrénéens : Laurent Mauvignier pour Autour du monde (Minuit), déjà nominé pour le Médicis, et Isabelle Desesquelles avec Les hommes meurent, les femmes vieillissent (Belfond)

Le jury du Femina a décidé de ne plus attribuer son prix littéraire à l’hôtel Meurice en raison des déclarations du sultan de Brunei, propriétaire de l’établissement, qui prône l’entrée en vigueur progressive de la charia dans le sultanat. « Après les déclarations du sultan de Brunei, propriétaire de l’hôtel Meurice, qui réclame pour ses sujets le rétablissement de la charia, le jury Femina, abandonnant le Meurice, a décidé de revenir pour décerner ses prix, le 3 novembre, au Cercle Interallié« , écrivent les jurées dans un communiqué.

Le jury du Femina, entièrement composé de femmes, avait siégé au Cercle Interallié, rue du faubourg Saint-Honoré, de 1980 à 1994, avant de déménager à l’hôtel de Crillon, actuellement en travaux.

La liste des pressentis pour le Femina

Les prochaines sélections seront annoncées les 9 et 23 octobre prochain. Le Femina sera remis le 3 novembre.

  • Romans français

– Yves Bichet, « L’homme qui marche » (Mercure de France)
– Gérard de Cortanze, « L’an prochain à Grenade » (Albin Michel)
– Julia Deck, « Le Triangle d’hiver » (Minuit)
Isabelle Desesquelles, « Les hommes meurent, les femmes vieillissent » (Belfond)
– Claudie Hunzinger, « La langue des oiseaux » (Grasset)
– Fabienne Jacob, « Mon âge » (Gallimard)
– Marie-Hélène Lafon, « Joseph » (Buchet-Chastel)
– Yanick Lahens, « Bain de lune » (Sabine Wespieser)
– Luc Lang, « L’autoroute » (Stock)
Laurent Mauvignier, « Autour du monde » (Minuit)
– Antoine Volodine, « Terminus radieux » (Seuil)
– Eric Vuillard, « Tristesse de la terre » (Actes Sud)
– Valérie Zenatti, « Jacob, Jacob » (L’Olivier)

  • Romans étrangers

– John Banville, « La lumière des étoiles mortes » (Robert Laffont) – Irlande
– Sebastian Barry, « L’homme provisoire » (Gallimard) – Irlande
– Lily Brett, « Lola Benski » (La Grande Ourse) – Australie
– Jennifer Clement, « Prière pour celles qui furent volées » (Flammarion) – Etats-Unis
– Charles Frazier, « A l’orée de la nuit » (Grasset) – Etats-Unis
– Drago Jancar, « Cette nuit je l’ai vue » (Phébus) – Slovénie
– Nell Leyshon, « La couleur du lait » (Phébus) – Grande-Bretagne
– Claire Messud, « La femme d’en haut » (Gallimard) – Etats-Unis
– Philipp Meyer, « Le fils » (Albin Michel) – Etats-Unis
– Leonardo Padura, « Hérétiques » (Métailié) – Cuba
– James Salter, « Et rien d’autre » (L’Olivier) – Etats-Unis
– Taiye Selasi « Le ravissement des innocents » (Gallimard) – Grande-Bretagne
– Zeruya Shalev, « Ce qui reste de nos vies » (Gallimard) – Israël
– Juan Gabriel Vasquez « Les réputations » (Seuil) – Colombie

 

15 Sep

Un Auscitain et un Toulousain pour deux prix

L’écrivain auscitain Jean-Hubert Gailliot ne fait pas les choses à moitié, il les fait plutôt en double. Son sixième roman Le soleil est en course pour pas moins de deux prix en ce début septembre.

Tout d’abord le prix Webler-Fondation La Poste qui sera remis le 9 novembre. Organisé par la librairie les Abesses, son jury est composé de professionnels, de lecteurs, d’un salarié de la Poste et d’une détenue de la prison de Rennes. Il récompense un auteur qui sort des sentiers battus et des lignes marketing actuelles. Bref, plutôt un auteur original.

Le second prix n’est rien moins que le Médicis. Le soleil figure sur la première liste d’ouvrages en course. Le Médicis met à l’honneur un ouvrage dont l’auteur débute ou n’a pas encore une notoriété correspondant à son talent. 13 romans français sont en course dont celui d’un autre Midi-Pyrénéens, le Toulousain Laurent Mauvignier avec Autour du monde (editions de Minuit). le lauréat du prix Médicis 2014 sera connu le 4 novembre prochain.

Le soleil de Jean-Hubert Gailliot est paru chez l’Olivier. Il raconte la quête d’un manuscrit en Europe du sud. Jean-Hubert Gailliot a mis 8 ans pour l’écrire. Il est bien connu à Auch (et ailleurs) pour être un des créateurs des éditions Tristram.

Le Soleil de Jean-Hubert Gailliot et Les grands de Sylvain Prudhomme dans l’émission la dispute sur France Culture.

Dans Autour du monde de Laurent Mauvignier (editions de Minuit), le seul lien entre les personnages est l’événement vers lequel tous les regards convergent en mars 2011 : le tsunami au Japon, feuilleton médiatique donnant à tous le sentiment et l’illusion de partager le même monde.

Les bonnes feuilles sur France Culture : Autour du monde de Laurent Mauvignier

22 Août

Un Toulousain fait entrer Achille Talon dans l’ère moderne

achille-talon-impetueuses-tribulations-d-tome-1-achille-talon-est-homme-moderneA plus de 50 ans, Achille Talon est un homme moderne, c’est pas moi qui le dit c’est le titre du nouvel album qui paraît le 29 août chez Dargaud, retraçant « les impétueuses tribulations » du héros décalé, bourgeois, érudit, imbus de lui-même et terriblement drôle. Après le décès de son créateur Greg en 1999, Chichille comme l’appelle son papa (oui c’est aussi un fils à papa-maman) est passé entre les mains de différents dessinateurs et scénaristes pour des résultats… divers et variés.

Ce coup-ci c’est Fabcaro qui s’y colle pour les textes et le Toulousain Serge Carrère pour le dessin. Le dessinateur de Léo Loden (éditions Soleil) et des Scientiflics (chez Bamboo) pour ne citer qu’eux a mis sa touche dans les traits d’Achille talon, de son voisin Lefuneste, de la jolie Virgule. Humour décapant, décalage complet, Achille Talon découvre le monde moderne et notamment le téléphone portable sans avoir pris une ride. Notre Chichile ne change pas, c’est l’époque qui change. Et c’est tant mieux (pour les deux).

Achille Talon est un homme moderne, Fabcaro et Serge Carrère, chez Dargaud

18 Août

Le sang de la vigne, à voir, à lire et à consommer sans modération

Le sang de la vigne, vous connaissez ? Mais si, c’est une série diffusée sur France 3 qui met en scène les enquêtes de l’oenologue Benjamin Lebel et ses assistants à la suite de meurtres commis dans le milieu viticole. Benjamin Level étant interprêté par Pierre Arditi, cela ne gâche rien à une série que j’aime bien, je l’avoue.

Sang de la vigneCertes mais encore me direz-vous… Le sang de la vigne c’est avant tout une série de romans, publiés chez Fayard dont la série n’est que l’adaptation. Des romans écrits par deux Lotois (qui signent aussi le scénario et les dialogues de la série) Jean-Pierre Alaux et Noël Balen. Des polars rondement menés, bien ficelés et avec lesquels je ne me suis jamais ennuyée. Avec une mention spéciale pour les titres du style Massacre à la sulfateuse, Cauchemar dans les Côtes-de-nuits, Crise aïgue dans les Graves, Médoc sur ordonnance,  j’en passe et des meilleurs dont l’aspect potache m’a toujours fait rire.

La cinquième saison du Sang de la vigne est en cours de tournage justement. Et le troisième épisode On achève bien les tonneaux se déroule au chateau de Mercues dans le Lot. Un domaine investi cet été par toute l’équipe de la série. Une bonne occasion d’aller relire quelques tomes version papier.

13 Juil

A Muret, on marie écriture et soirées festives

Une stagiaire accompagnée par Jean-Claude Bologne

Une stagiaire accompagnée par Jean-Claude Bologne – photos Guy Bernot

Il était une fois un atelier d’écriture. Celui du Prix du jeune écrivain à Muret qui a vu le jour il y a 17 ans. Chaque année, pendant deux semaines, des auteurs réputés animent deux semaines d’ateliers. Ils ont obtenu le Prix Goncourt de la nouvelle, le Prix Femina, le Prix Nicolas Bouvier « Etonnants voyageurs »…  bref, des pointures de l’écriture.

 Autant vous dire que ça bosse à Muret, ça gratte du papier, ça pianote fébrilement sur les claviers. Mais ça papote aussi, ça échange, ça lit, relit, écrit, réécrit et réécrit encore. Parmi ces adeptes du travail des mots, beaucoup de Québécois cette année. Et les places sont chères puisque les effectifs (12 stagiaires par ateliers maximum) sont complets deux mois avant la clôture des inscriptions.

photos Guy Bernot

photos Guy Bernot

Et ça se passe en ce moment, jusqu’au 19 juillet. Sous la houlette de 8 auteurs (Alain Absire, Jean-Claude Bologne, Georges-Olivier Châteaureynaud, Michel Lambert, Ingrid Astier, Christiane Baroche, Seyhmus Dagtekin et David Fauquemberg), les stagiaires explorent le bonheur, l’imposture, le secret, le commencement, la mer… avec autant de regards que de participants. Jusqu’au grand final, celui des Bistrots littéraires où les participants lisent leur travail en public. Si vous avez raté celui du samedi 12 juillet, vous pourrez vous rattraper le 19. Ca se passe à 18h au théâtre municipal de Muret.

Mais n’allez pas croire que tout ce petit monde vit dort et mange un crayon et un papier à la main pendant 15 jours. Point nenni.

Molière et le grand Will par la troupe du Tire-pois ( conservatoire d'art dramatique de Montréal ) le 08/07/2014 - photos Guy Bernot

Molière et le grand Will par la troupe du Tire-pois ( conservatoire d’art dramatique de Montréal ) le 08/07/2014 – photos Guy Bernot

Depuis 5 ans, un festival est venu se superposer aux ateliers. Celui des soirées du bord de Louge. Neuf spectacles, gratuits, par des artistes venus du Québec, de Marciac ou de la comédie Françaises qui viennent enchanter les soirées de nos stagiaires et des Muretains. Une occasion en or pour faire des rencontres, partager des univers différents. L’an dernier, 5000 personnes ont assisté aux soirées des bords du Louge. Et comme à Muret, on est accueillant, des bus partent de Basso-Cambo à Toulouse pour acheminer les spectateurs de la ville rose.

03 Juil

Tongs et maillot de bain, une tenue parfaite pour lire ?

B53828506J’ai personnellement une nette préférence pour la lecture pieds nus mais pour Lire en tongs à Saint-Orens, je suis prête à faire un effort.

Lire en Tongs, c’est très simple. Les jeudis 10, 17 et 24 juillet, vous payez votre entrée à la piscine de Saint-Orens et pour le même prix, vous piquez une tête et vous profitez de pleins d’animations autour du livre : prêts, lectures, mise en scène, pliages, ateliers, comptines… Une bonne façon de plonger dans l’eau et dans de fabuleuses histoires.

Les plus jeunes vont adorer à coups sûr et pendant qu’ils seront occupés par le festival, vous pourrez au choix faire la sieste ou savourer votre roman préféré sans être dérangé. Et vérifier ainsi que lire en maillot et en tongs, c’est décidément très agréable.

Cette chouette initiative, on la doit au Sicoval, l’intercommunalité du Sud-est Toulousan, le Lecteur du val, l’association des bibliothèques de cette communauté de communes.

05 Mai

Pourquoi diable le Goncourt 2013 est-il invité d’honneur de Toulouse Polars du Sud ?

Non c’est vrai quoi ! Pourquoi donc Pierre Lemaître, auteur du Goncourt 2013 (et prix France Télévisions) Au revoir là-haut est-il l’invité d’honneur du 6eme festival des littératures policières de Toulouse ? Parce que Au revoir là-haut, parle de deux poilus au lendemain de la première guerre mondiale qui vont monter ensemble une spectaculaire escroquerie au patriotisme juste après la fin de la grande guerre. Et dans le genre policier franchement, on peut faire mieux.

Vraiment ? Vous ne voyez pas ? Vous donnez votre langue au chat ? La réponse est sous la photo…Pierre lemaître

Tout simplement parce qu’avant d’être prix Goncourt, Pierre Lemaître est un des grand nom du polar français.

Son premier roman, il l’écrit à 50 ans. Travail soigné obtient le prix du premier roman du festival de Cognac. Les protagonistes de son livre sont des grands écrivains du roman noir et policier comme Bret Easton Ellis, Emile Gaboriau, James Ellroy, William McIlvanney

Viendront ensuite

  • Robe de marié (2009), l’histoire de Sophie, une trentenaire démente, qui devient une criminelle en série sans jamais se souvenir de ses meurtres
  • Cadres noirs (2010) qui met en scène un cadre au chômage qui accepte de participer à un jeu de rôle en forme de prise d’otages. Le livre est inspiré d’un fait divers réel survenu en 2005 à France Télévisions Publicité où avait été organisée une « prise d’otages fictive » des cadres dirigeants lors d’un séminaire afin de tester la cohésion d’équipe
  • Alex (2011) où  l’héroïne est tour à tour victime et meurtrière jusqu’à la conclusion qui retourne une nouvelle fois la compréhension que le lecteur peut avoir du personnage
  • Rosy & John
  • Sacrifices (2012). Travail soigné, Alex et Sacrifice constituent une trilogie d’enquête de Camille Verhoeven.

Le tout couronné de plusieurs prix : prix du Polar européen du Point, prix Polar des lecteurs du Livre de poche, prix du Meilleur polar francophone…

En quelques années, Pierre Lemaitre devient donc un cador du roman noir français traduit en 25 langues et reconnu à l’étranger où il reçoit des critiques élogieuses, notamment aux États-Unis, mais aussi en Angleterre où il obtient en 2013 le prestigieux Dagger International de la Crime Writers’ Association pour son roman Alex.

En fait, quand en 2013, le roman picaresque Au revoir là-haut, est publié chez Albin Michel, les adeptes de Pierre Lemaître ont du être un peu surpris.

Pierre Lemaitre travaille actuellement à l’adaptation cinématographique d’Alex qui sera porté à l’écran par James B. Harris (réalisateur qui fut le producteur de plusieurs films de Stanley Kubrick), ainsi que l’adaptation d’Au revoir là-haut pour la bande dessinée (avec Christian de Metter, sortie prévue en 2015) et pour le cinéma. Il écrit également un scénario original pour un film noir, en attendant de donner une suite à la fresque dont Au revoir là-haut constitue le premier volume.

Donc oui, quand on parle de polars et de littératures policières, Pierre Lemaître, il sait de quoi il parle.

03 Mai

L’amnésique de Rodez : le poilu qui n’a toujours pas dévoilé ses mystères

Dans cette année de centenaire du début de la première guerre mondiale, le choix de livres sur le sujet est extrêmement vaste. Dans ce dédale d’ouvrage, une histoire a retenu mon attention. Celle d’un poilu, l’amnésique de Rodez qui fait l’objet d’un ouvrage qui mérite le détour. L’amnésique des tranchées, l’incroyable énigme d’Anthelme Mangin  de Jean-Michel Cosson aux éditions de Borée. L’étonnante histoire du poilu retrouvé sur un quai de gare et qui ne se souvenait que d’un nom (même pas le sien) Mangin. Des centaines de familels ont cru reconnaître en lui l’être cher disparu sur les champs de bataille. L’homme séjourné pendant des années à l’asile de Rodez.


L’amnésique de Rodez – le livre par france3midipyrenees

08 Avr

Vous reprendrez bien un verre avec votre livre (ou l’inverse) ?

LE LIVRE ET LE VIN

Pour la 15e année, la ville de Balma propose son rendez-vous littéraire autour des littératures francophones. Au menu :  tables rondes, animations, rencontres avec des auteurs et surtout convivialité autour de la dégustation œnologique. Le thème de l’édition 2014, «les écrivains francophones et la guerre » , logique en cette année de commémoration. L’an dernier, 8000 personnes s’étaient déplacées à Balma.

Les Rencontres du Livre et du Vin de Balma se déroulent du jeudi 10 au dimanche 13 avril 2014. La présidente cette année est Claudie Gallay, connue depuis la parution, en 2008, de son livre « Les Déferlantes » , Grand Prix des lectrices de Elle. Claudie Gallay présentera aussi son dernier ouvrage « Détails d’Opalka ».