06 Juil

Jacques Haie, au coeur de l’Hermione

Jacques Haie est charpentier, il est chef de chantier sur l’Hermione depuis le début des travaux en 1997. Charpentier de l’entreprise Asselin, il est devenu charpentier de marine en apprenant tous les jours au coeur du chantier de reconstruction.

Portrait d’un homme passionné réalisé par Eric Vallet, Joël Bouchon et Maud Coudrin.

03 Juil

Les voiles de l’Hermione

La frégate reconstituée à Rochefort sera gréée avec 19 voiles,un peu moins que pour celle du XVIII siècle. Des voiles faites en toile de lin et dont la plus grande mesure 220m2.

Anne Renault est depuis toujours spécialisée dans la voilerie traditionnelle, c’est elle qui confectionne les voiles de l’Hermione. Un travail à la fois gigantesque et de précision réalisé avec les techniques du XVIII siècle et soit en public lors des visites du chantier, soit dans son atelier de Fouras (17). Les 19 voiles devront être terminées en 2014 pour les premiers essais de navigation. D’ici là, encore beaucoup de travail.

08 Juin

Le bois de marine

La fabrication de l’Hermione a necessité plus d’un millier d’arbres, comment ont-ils été choisis ?

Pour fabriquer un navire , le choix du bois est une étape très importante . Ressources, coupes, règlementations , Jean Marie Ballu, auteur de « Bois de marine, les bateaux naissent en forêt » rappelle que les racines des bateaux étaient dans les forêts. Les explications d’un expert pour mieux comprendre le choix essences et la transformation des arbres.

Reportage France3PoitouCharentes, novembre 2000. Durée 2mn48

28 Mai

zoom sur les orfèvres

Un photographe immortalise les artisans de l’Hermione.

Gilles Lazennec, photographe à Rochefort immortalise les ouvriers du chantier  de l’Hermione pour garder une trace de leur travail.

Reportage France 3, février 2001. 1mn

07 Mai

Les métiers de l’Hermione : forgeron et charpentier

Le feu de la forge, le bois du navire, comme autrefois les métiers de la marine ressurgissent autour de l’arsenal de Rochefort.

 Pour reconstruire la frégate de la Fayette, des artisans sont mobilisés sur le chantier. Au 18 ème siècle, 400 charpentiers construisaient une frégate en une année.

Au 21ème siècle, ils sont moins d’une dizaine et ils mettront une quinzaine d’années pour faire renaître le bateau de ses cendres.

Il s’agit de faire revivre des activités oubliées et de ramener de la vie dans l’arsenal.

Coup de projecteur  sur deux femmes, l’une est forgeron et l’autre menuisier.

20 mars 2006. Reportage de 1mn30