22 Oct

LANCE ARMSTRONG  » N’EXISTE PLUS  » !…

Pour le président Pat McQuaid : « Lance Armstrong n’a aucune place dans le cyclisme ». l’UCI vient donc de clore définitivement « l’un des chapitres les plus sordides de l’histoire du sport », selon les propres  termes de l’Usada.

Lance Armstrong, le 24 juillet 2004 à Besançon/ PHOTO ©AFP/PATRICK KOVARIK

Lundi 22 octobre 2012, l’Union internationale Cycliste a confirmé le rapport de l’agence américaine de lutte contre le dopage, reconnaissant Lance Armstrong coupable des faits qui lui étaient reprochés, à savoir : l’usage systématique du dopage durant toute sa carrière. En conséquence, le coureur texan a été déchu de tous ses titres de vainqueur du Tour de France entre 1999 et 2005. Sept maillots jaunes qui dorénavant n’existent plus, rayés des listes de l’histoire officielle… Le patron du Tour de France, Christian Prudhomme, s’était déjà exprimé sur le problème, plaidant pour laisser vierge le palmarès de cette période, compte tenu de l’étendue du dopage qui sévissait dans le peloton durant toute cette époque. L’UCI doit prendre une décision vendredi 26 octobre. Le Directeur de la Grande boucle rajoutait lors d’une conférence de presse ce lundi que « le Boss » devrait également rembourser le montant des primes perçues. Par ailleurs, Christian Prudhomme encourage les différentes instances à s’interroger sur les autres responsabilités. « L’entourage doit aussi être sanctionné. On ne peut pas se contenter de taper sur les coureurs » explique celui qui sera le maitre de cérémonie sur la scène du palais des congrès mercredi prochain, pour la présentation du 100e Tour de France. JLG


RÉSULTATS/ Le Guidon Bletteranois aux Prés-St-Jean

Dimanche 21 octobre. Le guidon Bletteranois s’est déplacé avec 20 coureurs sur le cyclo cross des Prés Saint Jean à Chalon Sur Saône, l’une des épreuves phares de la région de Bourgogne organisée par le VTT Loisirs Chalonnais. Un Parcours technique de 2 KM tracé aux abords du lac, avec ce dimanche, le soleil au rendez-vous. À l’issue de la compétition, les jurassiens ont reçu le trophée du club le plus représenté sur ce cyclo cross chalonnais.

L’équipe du Guidon Bletteranois sur le podium des Prés-St-Jean/ PHOTO © Aurélie Lanquetin

21 Oct

CYCLO-CROSS/ Jérôme Chevallier à Pont de Roide

Après Liebvillers samedi, c’est au tour de Pont de Roide d’assister à la démonstration du coureur Bisontin Jérôme Chevallier. Deux victoires en deux jours… un sacré week-end pour le septuple champion de Franche-Comté qui doit prendre sa décision cette semaine de savoir s’il poursuit sa route avec l’Amicale cycliste Bisontine ou s’il rejoint le Vélo Club d’Ornans. Le club de Bernard Marion qui s’offre une équipe de VTT toute neuve cette année sur les terres de l’Xtrem-sur-Loue. Laurent Colombatto termine en deuxième position et Damien Mougel monte sur la troisième marche du podium. JLG

Jérôme Chevallier et Damien Mougel/ PHOTO © Jean-Marie Picard

Laurent Colombatto/ PHOTO © Jean-Marie Picard

ESPOIRS/SENIORS/MASTERS
1 CHEVALLIER Jérôme( AMICALE CYCLISTE BISONTINE)
2 COLOMBATTO Laurent (AMICALE CYCLISTE BISONTINE)
3 MOUGEL Damien (VELO SPRINT EGUISHEIM)
4 CANAL Fabien (U.S.GIROMAGNY VTT)
5 ROZ Damien (VC ORNANS)
6 NOIRJEAN Gilles (AMICALE CYCLISTE BISONTINE)
7 SIRE Cédric (AMICALE CYCLISTE BISONTINE)
8 RIDART Hervé (VC UNITE SCHWENHEIM)
9 FRETZ Cyrille (VC SOULTZIA)
10 HOFSTETTER Hugo (VC SUNDGOVIA ALTKIRCH)

Mélanie Guerrin/ PHOTO © Jessica Claudel

DAMES
1 GUERRIN Mélanie (VC ORNANS)
2 MICLO Sylvie (V.C.DE MONTBELIARD)

CYCLO-CROSS/ Coupe du monde/ Francis Mourey 14e

Ce dimanche 21 octobre 2012. Une grande partie de l’élite mondiale de cyclo-cross était à Tabor en République Tchèque pour disputer la toute première manche de la Coupe du monde de la discipline. Le Franc-Comtois Francis Mourey (FDJ-Bigmat) s’est classé 14e de la compétition remportée par le Belge Kevin Pauwels  (Sunweb – Revor). Le coureur originaire de Chazot dans le Doubs qui a pris la tête du challenge national à Saverne le dimanche 14 octobre. Chez les dames, Lucie Chainel en termine à la 15e place, troisième française derrière Christel Ferrier-Bruneau (6e) et Julie KRASNIAK (11e). Enfin, Marlène Petitgirard passe la ligne d’arrivée en 20e position. Prochain rendez-vous toujours en République Tchèque à Plzen le 28 octobre. JLG

Francis Mourey/ PHOTO © Jean-Marie Picard

CLASSEMENT ELITE HOMMES
1 PAUWELS Kevin (BEL) SUNWEB – REVOR
2 VAN DER HAAR Lars (NED) RABOBANK GIANT OFFROAD TEAM
3 ALBERT Niels (BEL) BKCP – POWERPLUS
…/…
14 MOUREY Francis (FRA) FDJ-BIG MAT

DAMES
1 VAN PAASSEN Sanne (NED)
2 COMPTON Katherine (USA)
3 WYMAN Helen (GBR)
…/…
6 FERRIER-BRUNEAU Christel (FRA)
11 KRASNIAK Julie (FRA)
15 CHAINEL-LEFEVRE Lucie (FRA)
20 PETITGIRARD marlene (FRA)

20 Oct

CYCLO-CROSS/ Jérôme Chevallier à Liebvillers

Ce samedi 20 octobre 2012, le coureur Bisontin Jérôme Chevallier remporte la 4e édition du Cyclo-Cross de Liebvillers.

(Archive) Jérôme Chevallier sur le Cyclo-cross de Saverne 2012/ PHOTO © Jean-Marie Picard

Une épreuve organisée par le CC Étupes, menée de bout en bout par le champion de Franche-Comté en titre qui découvrait pour la première fois le parcours. Jérôme Chevallier décidément très en forme après sa performance sur les championnats du monde de VTT Marathon à Ornans, et qui se présentera ce dimanche 21 octobre sur la ligne de départ de Pont de Roide. Une course que le cyclocrossman de l’Amicale Bisontine avait aussi remportée lors de la dernière édition en 2011. JLG

CLASSEMENT
1 Jérôme CHEVALLIER (AC Bisontine)
2 Damien ROZ (VC Ornans)
3 Gilles NOIRJEAN (AC Bisontine)

19 Oct

« La poil aux pattes » dimanche à Dole (Jura)

Ce dimanche 21 octobre, Dole accueille sa gentlemen de fin de saison. Une édition de « la poil aux pattes » qui se déroulera sur un parcours d’une seule boucle de 16Km au départ du Collège Ledoux. Comme à l’habitude, quelques stars sont attendues sur l’épreuve comme Thibaut PINOT et Laurent MANGEL (FDJ-Bigmat). Arthur VICHOT accompagnera ses coéquipiers mais sans prendre le guidon après son opération de la clavicule. On annonce aussi  la présence de Vincent LAVENUE, le manager d’AG2R et du président Gilles DA COSTA.
La course revêt cette année un caractère exceptionnel à l’annonce du départ prochain de Thierry DELACROIX, le président du Vélo Club Dolois vient en effet d’annoncer qu’il quitterait ses responsabilités le 30 novembre prochain lors de l’assemblée générale du club jurassien. L’homme de la « Louis pasteur cyclo » aura passé 30 ans à la barre de l’association sportive dont on vient par ailleurs d’apprendre (c’est officiel) qu’elle quittera la DN3 en 2013 faute d’un recrutement suffisant. JLG

INFO/ Rabobank se retire du cyclisme professionnel

C’est un coup de tonnerre, un obus tiré dans les rangs du cyclisme professionnel. Ce vendredi 19 octobre 2012, le sponsor officiel de la formation cycliste des Pays-Bas a annoncé qu’il retirait définitivement son image des maillots de l’équipe néerlandaise après 17 ans d’investissement dans la discipline.

Selon l’AFP, Bert Bruggink, membre du conseil d’administration du groupe de produits bancaires et d’assurance déclarait dans la journée « Nous ne sommes plus convaincus que le cyclisme professionnel international est en mesure de faire du cyclisme un sport propre et juste ». Les révélations apportées ces dernières semaines par l’USADA (agence antidopage américaine) à propos de l’affaire Armstrong aura finalement persuadé l’établissement à retirer son soutien historique à la grande équipe (une des 18 formations inscrites sur le calendrier World Tour). Un coup dur s’il en est pour l’image du cyclisme, mais aussi pour les coureurs également. L’élite hollandaise d’abord (Gesink, Mollema, Kruijswijk, Slagter, Boom, Bos, Tjallingii, ten Dam) ; l’Australien Mark Renshaw, l’Espagnol Luis Leon Sanchez ; la championne olympique Marianne Vois et la française Pauline Ferrand-Prevot.

Pauline Ferrand-Prevot

la jeune coureuse Rémoise, championne du monde sur route juniors en 2010 et championne de France de contre-la-montre cette année, qui avait prématurément rompu son contrat avec le Team Lapierre pour intégrer Rabobank (Stichting Rabo Women) fin 2011. JLG

17 Oct

LA ROUTE/ Le voyage à Bicyclette

Cette route là, sent l’automne à plein nez. « Des feuilles mortes qui se ramassent à la pelle » et des flaques d’eau qui éclaboussent nos plannings surchargés. Novembre en octobre… comme toutes ces incongruités qui accompagnent dorénavant nos voyages modernes de toutes sortes. Cette incessante chorégraphie quantique sur nos écrans, ces inlassables remises à jour de tout ce qui bouge, du plus petit mouvement dans l’air, et du moindre rond dans l’eau. Déjà l’automne ; les casquettes en mode « Belge » bien enfoncées sur les oreilles. Le temps pourri des caleçons longs et des capelines qui se ramène un peu tôt ces jours-ci. La saison des chaussettes épaisses et des imperméables étriqués qui débarque avant l’heure prévue. Cette bruine, ce crachin aux couleurs métalliques qui concourt aux horizons humides de l’arrière saison. Mais rien, qui ne saurait empêcher tout à fait une grande sortie à bicyclette arrangée sur le vif d’une envie subite de prendre le large.

Sur la carte, un peu plus d’une centaine de kilomètres sur les rives du Doubs. Un aller-retour entre Besançon et Dole dans le Jura à l’allure d’une simple trace nomade et tout ce qu’il y a de plus écologique. Besançon, Boussières, St Vit, Dampiere, Rochefort-sur-Nenon et Dole jusqu’au pied de la  Collégiale. Un bout de chemin sur l’itinéraire « Nantes Budapest » de l’Eurovélo N°6. L’idée qu’au retour, l’envie me prendrait alors de poursuivre la route jusqu’à Mulhouse et puis la Suisse, Bale, et le lac de Constance à la frontière allemande, le château d’Arenenberg pour les amateurs, d’autres préféreront la réécriture d’une station balnéaire dans le style art nouveau. A chacun sa route !…  celle d’Herman Hess passait par là dans les premières années du vingtième siècle, où peut être l’écrivain réfléchissait-il sur son futur « Loup des steppes ». Ce malaise, cette âme errante de Harry Haller, le personnage principal du grand auteur allemand, en proie à quelques doutes sur la condition humaine, une crise existentielle face à son destin terrestre inéluctable….  Herman Hess, le temps de reprendre son souffle sans quitter le sujet qui nous préoccupe ici : Le voyage… Un voyage, initiatique, dans le cas de ce « Loup des steppes ». Un monument de la littérature plutôt qu’une bastille de pensées touristiques toute faites, pour en rester à l’objet de la belle carte postale d’un beau lac bien fait.

La route… ou la perspective de quelques milliers de kilomètres à parcourir juste droit devant. La route… qui n’en finirait plus, comme seule case à remplir sur mon calendrier. L’Autriche, Vienne et le Café Prückel, les peintures de Gustav Klimt… et un requiem de Mozart bien sûr, pour compenser cet oubli inexcusable d’avoir laissé Salzbourg en chemin. Une bonne séance d’endurance jusqu’à Bratislava en Slovaquie l’histoire de voir son beau tramway ; puis Budapest la capitale hongroise (l’autre pays du Tramway…) La ville de naissance de Robert Capa, le photographe reporter de guerre ami de Cartier Bresson dont le nom restera a jamais gravé dans la mythologie du photojournalisme et dans celle de l’antifranquisme.

Budapest, pour dévorer un de ces Goulasch typiques ou un ragout d’agneau au paprika (C’est qu’il commence à faire faim sur la route après plus de 3000 kilomètres à pédaler sans relâche la tête dans les étoiles d’une communauté européenne toute concentrée sur la même cuisine économique et financière qui lui déchire l’estomac depuis des mois.

Le Danube plonge ensuite d’un coup plein sud vers l’ancienne Yougoslavie, Osijek, Vukovar en Croatie (la ville martyre du conflit Serbo/croate avant celui quatre ans plus tard de Srebrenica en Bosnie-Herzégovine. La dernière grande barbarie du vingtième siècle où s’illustrèrent les très zélés Miroslav Radic, Goran Hadzic, et autres Ratko Mladic… tous sous le contrôle politique de Radovan Karadžić ; le psychiatre et dirigeant Serbe, qui avait orchestré le siège de Sarajevo, accusé de génocide et de crime contre l’humanité comme le fut avant lui le président des Serbes Slobodan Milošević décédé avant la fin de son procès à La Haye. Un procès pour juger les principaux responsables serbes impliqués dans les atrocités militaires commises durant la guerre de Yougoslavie qui a repris au cours de ce mois de novembre 2012 au Tribunal pénal international avec à la barre, Radovan Karadzic, l’ancien chef politique des Serbes de Bosnie. L’homme, poète à ses heures, s’est d’abord présenté devant les juges mardi 16 octobre dernier en « artisan de la paix », soulignant son souhait « d’être récompensé pour toutes les bonnes choses qu’il aurait accomplies dans sa vie ».) Cette constance qu’ont les hommes d’avancer tête baissée et sans jamais vouloir s’acquitter de rien…

L’Eurovélo 6 quitte maintenant  la ville de Novi Sad dans l’ancienne Voïvodine, et puis Belgrade, la ville blanche… d’où toute l’affaire était partie du temps où avec un ami photographe, nous tentions d’apprendre le métier dans cette grande débâcle générale des Balkans en dormant sur le front avec nos bons vieux Nikon™ argentique qu’on oubliait quelquefois dans les bars une fois rentrés chez nous. C’était il y a exactement vingt ans maintenant. ). Une route comme prétexte au réarmement des souvenirs à haute tension le long d’un Danube qui n’aurait peut-être pas obligatoirement la même définition romantique pour tout le monde. La route reprend vers l’Est et délaisse encore Bucarest au pied de la Transylvanie, la capitale roumaine, dont ceux de ma génération associent encore le nom de Ceaușescu à l’histoire des républiques socialistes qui s’est arrêtée là dans un bain de sang, en 1989, quelques semaines après la chute du mur de Berlin.  La Roumanie… et je préférerais volontiers retenir ces formes d’un « baiser » parfait de Brâncuși, le sculpteur originaire des Carpates débarqué à Paris dans l’époque des Ready-made de Marcel Duchamp pour foutre un sérieux bordel dans l’académisme d’une discipline encore toute dédiée à ces « Rodin » du XIXe siècle toujours persistants.

Ma route délaisse par le sud cette évocation d’un monde aujourd’hui enfoui sous les couvertures des livres d’histoire, comme le nouveau ruban d’asphalte tendu aujourd’hui entre l’Est et l’Ouest m’épargne la visite de la Moldavie toute proche. (Avec mon frère d’armes déjà à mes côtés en Yougoslavie, nous avions traversé ce pays alors en proie à la guerre civile dans les années 90… Deux camps, dont l’un adossé à l’Ukraine agissait sous les ordres du général Lebed, commandant en chef à l’époque, de la 14e armée de la fédération de Russie basée à Tiraspol pour empêcher la Transnistrie de basculer du côté de l’Otan. Une route semée des pires embuches administratives et surtout militaires au lendemain de l’effondrement de l’Union Soviétique. La Moldavie côté Dniestr dont les autorités locales de tout acabit, nous avaient les unes après les autres dépouillés de tout ce qui pouvait représenter la moindre valeur financière resté en notre procession après le long voyage qui nous avait conduit jusque là. Des opérations de rétorsions menées sous la menace de Kalachnikovs, et dans des reflux d’alcool en habit de camouflage dont je n’ai rien oublié des effluves rustres et bestiales ; tout ce qui délitaient peu à peu notre objectif de reportage dans la région !) Ce territoire de facto, actuellement  « la république Moldave du Dniestr » seulement reconnue par elle-même au profit certain de trafics en tout genre. Une plaque tournante pour les ventes d’armes, la drogue et les réseaux mafieux. « Bienvenue au pays des derniers soviets ! » comme l’a écrit Frédéric Delorca en 2007. Le dernier endroit au monde où le marteau et la faucille dominent encore aux frontons des Kolkhozes réfractaires. L’ultime endroit où l’idéologie des goulags a encore force d’esprit ; où Lénine tient encore de tous ses boulons bien serrés… Un cadavre de l’URSS dans le plus pur style néo-classique cher à Rodtchenko. Ces chef-d’œuvres pompeux encore bichonnés comme les carrosseries d’antiques Lada posées en agrément des paysage de béton défoncé.

La route prend fin à quelques dizaines de kilomètres d’Odessa sur les rives occidentales de la mer Noire. Je ne peux éviter la mythique bande muette d’Eisenstein qui se superpose au grand escalier « Potemkine » et menant ces temps ci à un immense centre commercial. Le boulevard Primorski ou l’on aurait aperçu Pouchkine au temps de la grande Saint-Pétersbourg.

Hermann Hess, Robert Capa et les cafés viennois, Sarajevo, le constructivisme soviétique et l’exil de Pouchkine sous le règne d’Alexandre… Une journée de repos bien remplie sur ma bicyclette pour décompresser d’une semaine de boulot. Jean-Luc Gantner

PHOTOS © Jean-Luc Gantner

16 Oct

INFO/ Morgan Kneisky rconduit à « Roubaix-Lille Métropole »

Le coureur bisontin Morgan KNEISKY victorieux sur la troisième étape du Tour de la Mayenne cette année vient d’être officiellement reconduit au sein de l’équipe continentale de Cyrille Guimard « Roubaix-Lille Métropole » (une formation qui connait quelques difficultés financières pour se relancer sur le calendrier 2013 avec la perte de sponsors et un financement limité des collectivités). Morgan Kneisky champion du monde de scratch en 2009 et 4 fois médaillé sur un mondial de piste, fut cette dernière saison 2012 un des deux seuls coureurs salariés de RLM a monter sur la première marche d’un podium avec son coéquipier Fabien Schmidt (3è étape de la Mi-août bretonne). Le Franc-Comtois formé à l’Amicale Cycliste Bisontine dispute actuellement les « 6 jours d’Amsterdam ». JLG

BMX/ « Retiens, la nuit »…

La nuit du BMX revient le 27 octobre prochain. « L’Open pro de Besançon », 5e du nom, fait son retour sur le site du Rosemont en avant première de la finale des championnats de Franche-Comté prévu le lendemain 28 octobre 2012. Le grand show est ouvert à tous les pilotes licenciés, et le club Bisontin devrait confirmer la présence de quelques stars de la discipline comme Simon Duchène ou Quentin Caleyron.