21 Avr

Un Crémant de Bourgogne s’invite aux 90 ans de la reine Elisabeth II : « Happy Birthday to the Queen ! »

Certains sont plus malins que d’autres. Gilles Savary avait fait envoyer il y a quelques temps une caisse de Sauternes à la Reine d’Angleterre. Cette fois-ci, c’est un viticulteur de Blacé dans le Beaujolais qui lui adresse un fabuleux Crémant de Bourgogne : château de l’Hestrange. Celui-ci va trôner sur la table des festivités au château de Winsor du 12 au 15 mai.

Un vin originaire du Beaujolais sur la table de la reine d'Angleterre ... © P.Perrel

Un Crémant de Bourgogne sur la table de la reine d’Angleterre … © C.Perrel

90 ans, ça se fête ! Et quand on est la Reine d’Angleterre depuis 63 ans, ça devient un événement planétaire.

90 ans pour sa Majesté la Reine Elisabeth II © le temps.ch

Un viticulteur de Blacé dans le Beaujolais, Laurent Metge-Toppin, a réussi l’exploit de voir figurer sa production en bonne place sur la table de sa Majesté la Reine Elisabeth IIIl s’agit d’un vin millésimé, produit à partir d’un cépage chardonnay et vendangé à la main. Une production confidentielle : une parcelle d’un hectare seulement au coeur de l’un des plus hauts vignobles du Beaujolais.

Laurent

Laurent Metge-Toppin: un honneur pour son Crémant de Bourgogne © France 3 Rhône-Alpes

Laurent Metge-Toppin avait écrit à la Reine Elisabeth II, il y a quelques mois, pour lui suggérer de déguster son vin. Ce fut une proposition acceptée et la Reine fut emballée. Il faut dire que les Britanniques sont de grands amateurs de « sparkling wines », vins effervescents et champagnes.

La Cuvée de sa Majesté la Reine Elisabeth II © France 3 Rhône-Alpes

La Cuvée de sa Majesté la Reine Elisabeth II © France 3 Rhône-Alpes

Les bouteilles seront livrées au château d’ici a fin du mois. L’entourage de la Reine doit encore valider le petit médaillon qui sera apposé sur les 600 bouteilles servies à Windsor en mai. Ce symbole, le viticulteur pourra l’ajouter sur toutes les bouteilles de la cuvée royale !

Avec France 3 Rhône-Alpes ; regardez le reportage de A.Mangon, P.Perrel