28 Jan

Marseille : des épaves qui en disent long

L’Histoire engloutie sous la mer, un film de Valérie Simonet et René Heuzey
samedi 11 octobre à 15h20 sur France 3 Provence-Alpes
et en replay pendant un mois sur notre site web dès la fin de la diffusion.
Entretien avec sa réalisatrice, ci-dessous

Notre-Dame de La Garde veille sur la rade de Marseille mais malgré la dévotion des gens de mer, nombreux sont les navires qui reposent sous les eaux. A gratter le sable de la rade, on remonte l’histoire d’un port riche de 26 siècles de péripéties. Autour des îles comme  au pied du phare Planier, première vigie qui annonce l’approche de la côte, reposent des dizaines d’épaves, depuis les premiers bateaux à voile, en bois, qui amenèrent les Phocéens sur les rives du Lacydon, jusqu’aux cargos contemporains aux flancs en acier et aux moteurs puissants ou les avions de la dernière guerre mondiale. Une histoire figée dans le sable et la vase et  en miroir celle d’un port de commerce florissant.

Images extraites du film

En donnant la parole aux survivants des naufrages, gardiens de phare, sauveteurs et pêcheurs ; en mettant en scène des historiens, archéologues, un descendant de grand armateur ; en exhumant des dizaines de photos, d’archives filmées et de documents, Valérie Simonet raconte la saga d’un port de commerce qui a forgé la destinée d’une ville singulière.

Fille de la Méditerranée, plongeuse occasionnelle et marseillaise qui plus est, Valérie Simonet voue une passion contagieuse pour tout ce qui touche à la mer.
En découvreuse insatiable, c’est les yeux pétillants qu’elle a mené l’enquête comme si chaque trouvaille constituait pour elle un trésor inestimable.
Dans cette plongée à la rencontre de notre histoire enfouie, elle s’est adjoint le talent du cinéaste René Heuzey, spécialisé dans le tournage d’ images sous-marines.
Quel meilleur endroit que la digue du large à Marseille, pour évoquer ensemble les tours et détours de la chasse au trésor que fut ce tournage ?

Entretien avec Valérie Simonet


Entretien avec Valérie Simonet par france3provencealpes

 

Le film L’Histoire engloutie sous la mer sera diffusé le 15 février à 15:20 sur France 3 Provence-Alpes
et en replay pendant un mois sur notre site web dès la fin de la diffusion.
Une coproduction Pointe Sud productions, Ligne de Mire productions et France Télévisions

 

Un duo de professionnels au « cv » éloquent pour révéler les secrets de Marseille.

valerie-simone_200pxt
La bio de Valérie Simonet

RHeuzey200px
La bio de René Heuzey

 

22 Jan

Dans les Coulisses de La Timone

Samedi 25 janvier à 16:15 sur France 3 Provence-Alpes
puis en replay sur notre site web dès la fin de sa diffusion

timonePano_600

Cette semaine, Chroniques du Sud – Coulisses – vous emmène dans le plus grand centre hospitalier de la région en plein coeur de Marseille, le très fameux établissement de La Timone. Une véritable ville dans la ville qui abrite 5000 personnes, dont 900 médecins qui y prennent en charge chaque jour quelques 1000 patients.

Que se passe-t-il lorsque la porte du service se ferme ? Quelle humanité subsiste au delà de cette formidable machinerie en fonctionnement continu ?
Autant de questions qui sont au coeur du documentaire de Valérie Simonet et qu’elle a bien voulu évoquer pour nous.

 

valerie-simonet_picto

Entretien

PZ : Pourquoi vous être intéressée à l’hôpital de La Timone ?

VS : Alors, tout d’abord, La Timone c’est  le premier hôpital de notre région et le deuxième hôpital français après La Pitié-Salpêtrière à Paris.
Nous avons eu envie d’aller voir ce que devient cet hôpital à un moment un peu crucial de sa vie, c’est-à-dire celui où il va déménager une partie de ses activités dans un bâtiment ultra-moderne, construit au sein-même de La Timone. Le principe de l’émission étant d’être là où le téléspectateur – le patient que l’on est tous potentiellement – ne se trouve pas, nous allons découvrir ce qui se passe lorsque la porte de l’hôpital est refermée. 
Avec les caméras de France 3, nous avons été en complète immersion et  avons vécu une semaine au rythme du  service de chirurgie vasculaire du Pr Piquet.
Comme nous étions dans un service de chirurgie de pointe, nous avons suivi une intervention au bloc opératoire, pour rendre compte du rôle de chacun – les infirmières, comment travaillent-elles, le professeur de chirurgie qui s’apprête à opérer, bref, des moments rares auquel personne n’assiste en temps normal. Evidemment on a pu comprendre le fonctionnement du service – comment travaillent ensemble les équipes – infirmières, aide-soignantes et médecins.

Un des volet important que l’on va découvrir dans ce film c’est que La Timone, à l’instar de tous les hôpitaux de l’Assistance publique de Marseille ont déjà déménagé une partie de leur activité hors de l’hôpital : dans une immense usine située dans les quartiers Nord qui a ouvert en avril 2013. C’est un énorme navire dans lequel on va retrouver les cuisines des cinq hôpitaux marseillais, leurs services de blanchisserie mais surtout, toute la stérilisation ainsi que les magasins généraux où l’on trouve ce qui est indispensable pour le bon fonctionnement d’un service hospitalier.

Et puis, nous faisons vivre également le déménagement de ce service puisque nous étions présents le jour où il avait lieu. On déménage des meubles bien sûr, du personnel mais aussi des malades. Et cela a donné lieu à un ballet de lits qui sont passés d’un bâtiment des années 70 à un tout nouveau bâtiment prêt à accueillir tout au long de l’année 2014, tous les services de chirurgie cardiaque et vasculaire ainsi que la réanimation et les urgences du centre-ville de Marseille. Un bâtiment donc promis à une très grande fréquentation.

Il me tenait à coeur de faire un parallèle entre toute cette machinerie hyper moderne qui est à l’oeuvre autour de l’hôpital et l’aspect fondamentalement humain qui l’essence même de l’activité hospitalière : comment on accueille un patient, comment on le reçoit, comment on le soigne avec cette question sous-jacente : est-ce que cette ultra modernité ne vient pas mettre de la distance entre le soignant et le malade ?

PZ : C’est peut-être le Professeur Piquet, le garant de cette humanité ?

VS : C’est un peu notre héros ! Il n’a pas du tout la personnalité du grand mandarin réputé inatteignable et qui fait trembler tout le monde ! C’est un homme qui a beaucoup d’humour, beaucoup d’empathie. A un moment, il m’a prise par la main et m’a dit : « Venez, je vais vous montrer quelque chose, hors caméra » et il m’a présentée à une famille dont le petit enfant de 5 ans avait été sauvé par le service après plusieurs AVC. Cela montre la dimension très humaine de ce personnage qui finalement soigne aussi bien un petit enfant de 5 ans que des gens beaucoup plus âgés. Preuve aussi de la qualité humaine de ce grand personnage de la médecine c’est l’attachement de l’ équipe qui l’entoure depuis plus de 10 ans.

Entretien réalisé par Pernette Zumthor 

Les Coulisses de la Timone sera diffusé samedi 25 janvier à 16:15 
puis en replay sur le site web de l’émission.

 timone2Pano_600

19 Déc

Mediterraneo : Retour sur tournage en Egypte

 

Depuis 20 ans, Mediterraneo vous propose chaque semaine de partir à la rencontre du monde méditerranéen. Découvrir ses richesses, sa diversité culturelle, ses réalités multiples, à travers des portraits, des regards et plonger au cœur de l’histoire sans cesse en mouvement. 

Une série de reportages au coeur d’une actualité internationale brûlante.

Yannick Aroussi et Christian Mathieu, journalistes-reporters pour le magazine, étaient en Egypte au mois de novembre pour y prendre le pouls d’un pays dont on entend ici l’écho, au gré d’événements plus ou moins médiatisés.
De la Sissimania qui saisit aujourd’hui une bonne partie des Egyptiens au problème des réfugiés syriens devenus personae non gratae depuis la chute du régime de Mohammed Morsi, ils dressent un portrait sans complaisance d’un pays en crise et nous livre une série de trois reportages qui seront diffusés en janvier.

 

Yannick Aroussi a bien voulu revenir avec nous sur ce travail et éclairer de son expérience les conditions de ce tournage en eau vive.

 

Yannick Aroussi, itw 1 par france3provencealpes

Extrait : Une idée de la « Sissimania »
Extrait par france3provencealpes


Yannick Arroussi, itw 2 par france3provencealpes

Le premier reportage consacré à la « Sissimania » sera diffusé dans Mediterraneo du 12 janvier sur  France 3, puis sur TV 5 et la RAI 3.

 

Pour aller plus loin :
Le général Al Sissi surfe sur une vague nationaliste Le Monde
Le drame des réfugiés syriens en Egypte L’express

11 Déc

Dans les coulisses de l’hypercommerce

Samedi 14 décembre 16:15  sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur
et en replay sur notre site web dès la fin de la diffusion.

Cette semaine, Chroniques du Sud – Coulisses – vous emmène dans le ventre de l’un des plus grands hypermarchés de France, Carrefour Vitrolles, temple de la consommation de masses. Vingt-mille m² de surface utile à deux pas de Marseille, deux millions et demi de clients par an, attention ! Gigantesque !

Vincent Desombre tourne depuis le début de la saison les volets coulisses de l’émission Chroniques du Sud. Après s’être concentré sur l’envers du luxe côté hôtellerie et gastronomie, le voici dans une sujet plus « popu » mais où tout se voit en XXL.

Entretien avec Vincent Desombre

vincent-portrait

PZ : Vous vous êtes plongé pour faire ce film dans l’un des plus grands hypermarchés de France. A l’heure où il est fréquent de se poser la question de l’hyper consommation, comment avez-vous perçu ce monde de la grande distribution? Sans complexe? Alimenté par une clientèle toujours fidèle au poste ?

VD : J’ai été en effet assez surpris de constater que la grande distribution n’est  pas aussi « has-been » que cela. On a beau, pour certains, faire nos courses dans des commerces de proximité qui affichent label équitable etc. ces grands supermarchés résistent très bien à cette tendance minoritaire, il faut le dire. Ce qui frappe au premier abord, c’est le gigantisme : 20 000 m², des chiffres toujours astronomiques et pour n’en citer qu’un : une tonne de bananes vendue tous les jours. En ce moment, 30 000 clients arpentent les rues de cette véritable ville. Il faut se défaire d’une idée un peu caricaturale que l’on a des hypermarchés où le client tient lieu de vache à lait. Ce n’est pas si simple que cela. Certes, l’hyper est une entreprise dont le but – on ne s’en cache pas –  est de vendre et d’augmenter le chiffre d’une année sur l’autre. Du simple vendeur au directeur, c’est la culture du chiffre décomplexée. Mais pour autant, les choses ont évolué et, si l’on pouvait dans les années 70 « fourguer » n’importe quelle marchandise à bas prix, il n’en est pas de même aujourd’hui. Il y a un réel souci de qualité et de traçabilité des produits. La viande, le poisson font l’objet d’une surveillance particulière. Le client est plus attentif qu’il y a 30 ou 40 ans et les grandes surfaces – a fortiori de cette taille – se sont adaptées. Parmi les 70 000 références présentes dans les rayons, la fourchette est large et chacun peut y trouver son « bonheur ».

PZ : Qui sont les clients de ces hyper marchés ? Des proies faciles ? Des amoureux du « magasinage » comme on dit au Québec ?

VD : C’est vous et moi. Il faut rappeler que selon un sondage, 9 français sur 10  font leurs courses en grande surface. Ce n’est donc pas anecdotique. On est dans la logique du : « on fait le plein  pour la semaine ». J’ai remarqué pas mal de personnes âgées et d’ailleurs, j’ai rencontré et suivi pendant le reportage un couple de retraités qui fréquentait cet endroit depuis 42 ans, année de sa création. Ils se souvenaient avec émotion de leur première visite : on leur avait donné un plan pour qu’ils ne se perdent pas dans les rayons. Eh bien ces gens-là, ils font attention mais en même temps ils sont cœur de cible et en sont conscients. Le jour où je les ai suivis, ils étaient venus pour acheter de la pâte à pizza pour l’anniversaire de leur petite-fille ; ils sont repartis le caddie rempli. En fait, ils se font plaisir en faisant leurs courses et se lâchent un peu financièrement.Tentés tout le temps mais en même temps consentants.
La meilleure preuve de leur objectivité tient dans une citation que m’a livrée monsieur : « Comme dit Oscar Wilde, je résiste à tout sauf à la tentation ».

PZ : Vous a-t-on facilité les choses à Carrefour-Vitrolles ?

VD : On nous a ouvert les portes très facilement. Au départ, on devait travailler avec un autre groupe qui a tardé à nous donner sa réponse. C’était un jour oui, un jour non. Là, la réponse a été immédiate. Avec les précautions d’usage, à savoir la présence d’une attachée de presse à nos côtés mais on ne peut pas dire qu’ils aient empêché quoi que ce soit. En revanche, forts d’une mauvaise expérience l’an passé avec un autre média qui les avaient piégés pour tenter d’obtenir des images choc, ils ne nous ont pas permis d’aborder les questions liées à la sécurité, à l’argent, aux caméras de surveillance.

PZ : Qu’est-ce-qu’on apprend en plongeant dans les coulisses de ce grand Barnum ?

VD : Ce qui me plaît dans mon métier, c’est la rencontre avec les gens. Et là, je dois dire que j’ai rencontré la fameuse « France qui se lève tôt ». Ils sont 600 employés qui travaillent pour certains dès 3h00 du matin pour des salaires pas vraiment mirobolants. Il y a une pression constante mais qu’ils intègrent eux-mêmes, c’est-à-dire qu’ils sont dans la culture de la performance à l’américaine. En même temps, ils ne sont pas malheureux et trouvent leur équilibre là-dedans. Et il y a des indices de cette « bonne santé » : beaucoup d’employés sont là depuis longtemps -20, 25 ans, parfois – et ont une véritable possibilité d’évolution. Le responsable des produits frais, par exemple, l’un des gros postes de l’enseigne, a débuté comme poissonnier il y a 20 ans. 
En fait, ce sont de vrais bosseurs. Ils remontent les manches. C’est l’esprit de la « boutique ».

 

Propos recueillis par Pernette Zumthor

 

25 Nov

Chroniques du Sud à Sainte-Agnès dans le 06

Samedi 30 novembre 16:15  sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur
et en replay sur notre site web dès la fin de la diffusion.

 

Carine Aigon, productrice et animatrice du volet Découverte de l’émission voulait prendre de la hauteur, les drones ne lui suffisant plus…
Qu’à cela ne tienne ! c’est dans le village le plus haut perché d’Europe qu’elle est allée planter son piolet de découvreuse.

sainte_agnes_1299832802

Ce village de Saint-Agnès, non seulement se niche à 750 mètres d’altitude, mais il se paie le luxe d’un panoramique époustouflant sur la grande Bleue.
De quoi nous rendre jaloux de ses quelque 200 âmes qui, elles, ont l’air de nager dans le bonheur !

J’ai tendu mon micro à Carine qui a eu le coup de foudre pour ce bout de paradis.


Carine Aigon, interview pour Chroniques du Sud par france3provencealpes

 

Dès votre arrivée à Saint-Agnès dans les Alpes-Maritimes, vous ressentirez une vraie douceur de vivre. Laissez-vous guider à travers le village par ses habitants.
Avec Jean-Claude Rosier vous prendrez de la hauteur en le rejoignant au château fort du village. Puis, au détour des ruelles, poussez la porte de la boutique de Frédéric Pelissier, maître-verrier et de sa compagne Chrystine, plasticienne-coloriste. Un univers ou se mêlent la lumière et l’ombre …..
Avec Bruno Ray, vous pénétrerez  dans le fort de Saint-Agnès, un fort de la ligne Maginot : 2000 m2 creusés à même la roche.

Carine AIGON vous a préparé encore bien  d’autres surprises.
Alors, moteur ! action ! ça tourne samedi à 16h15 sur France 3

 

20 Nov

Fos-sur-Mer fête ses 50 ans

Deux rendez-vous à ne pas manquer sur nos antennes
à l’occasion de l’anniversaire du port de Fos-sur-Mer

Jeudi 21 novembre 12:00 et 19:00
Deux pages spéciales présentées par Jean-Louis Boudart
en direct depuis le port  
Ses invités du 19/20 :
Frédéric Pasqual, directeur général de Geodis Logistics Sud
Jean-Claude Terrier, président du directoire du GPMM (Grand Port Maritime de Marseille-Fos)

Samedi 23 novembre 16:15
Dans l’émission Chroniques du Sud

Dans les Secrets du port de Fos
un documentaire signé Charlotte Penchenier 
co-produit par France 3 et Mars Productions

 

Extrait
Dans les Secrets du port de Fos extrait par france3provencealpes

Des quais à perte de vue, des cheminées d’usine, des cuves de pétrole et des pipe-lines, un entremêlement de routes, de canaux
et de voies ferrées… Nous sommes sur le Grand Port Maritime de Marseille-Fos. Plus précisément sur les bassins ouest, dans le
golfe de Fos. Un immense territoire de 10 000 hectares, véritable plaque tournante : pétrole, charbon, bauxite, voitures, containers….
près de 80 millions de tonnes de marchandises transitent ici chaque année. Une fois les bateaux déchargés, camions et trains
prennent le relais pour acheminer les denrées. Un monde de matelots et d’ouvriers, d’ingénieurs et de dockers… Ce sont eux que nous allons suivre, au plus près de
leur quotidien. De la gestion du trafic maritime à la manutention dans les entrepôts, ils nous expliqueront leur fonction, souvent ultra spécialisée. Nous verrons comment cette chaîne humaine complexe fonctionne, selon une partition toujours recommencée, pour que les marchandises circulent sans jamais s’arrêter…
Bienvenue dans les coulisses du premier port de commerce français.

 

14 Nov

Grand débat public : inscrivez-vous!

Vous souhaitez assister au premier grand débat des municipales à Aix-en-Provence ?

Envoyez-nous vos noms et prénoms à cette adresse avant le 9 décembre 2013.
Attention, les places sont limitées !

logo-municipales-fond-blanc540_300

Vendredi 13 décembre 2013 à 16:00, l’émission La Voix est libre se délocalise à la bibliothèque Méjanes.
Thierry Bezer pour France 3 Provence-Alpes et Jean-Laurent Bernard pour France Bleu Provence recevront
sur le plateau tous les candidats en lice pour ces élections municipales.

Bibliothèque Méjanes
Les infos pratiques

13 Nov

Verdon, une vie rêvée

Samedi 17 novembre à 16:15 sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur
dans Chroniques du Sud – Découverte 
et en replay sur notre site web dès la fin de la diffusion.

A la découverte d’un des plus beaux canyons d’Europe.

En serpentant dans  la roche calcaire pendant des millénaires, la rivière a creusé les fameuses Gorges du Verdon sur une trentaine de kilomètres.
Paradis des randonneurs, kayakistes et autres grimpeurs durant l’été, Carine Aigon a choisi de partir à la découverte de celles et ceux qui y vivent toute l’année, cachés dans un écrin de tranquillité et de nature sauvage.

verdon_pictos

Rencontre insolite avec Véronique Quinot et son troupeau de vaches de l’Aubrac. Avec Sylvain Henriquet, l’équipe de Chroniques du Sud prend de l’altitude pour se rapprocher du «vautour fauve», un grand planeur, pour un face-à-face privilégié avec les oiseaux. Enfin, retour sur la terre ferme et direction La Palud-sur-Verdon, pour y découvrir la vie rêvée de Luce et de Laurent Martin, qui proposent la découverte de leur yourte et de leur tipi.

Présenté par: Carine Aigon
Réalisé par : David Boutin

 

 

Crédits photos : Daveon/Maarjara/Koen/Djiva, via CC Flickr

24 Oct

Marseille-Cassis 20 km sur nos antennes

En direct depuis le port de Cassis dimanche 27 octobre dès 9:00

Accros du chrono ou simples coureurs de loisir, ils seront 15 000 à prendre le départ dimanche à 9h30 à Marseille. 
France 3 se mobilise pour vous faire vivre la course, du départ à l’arrivée à Cassis : 3h de direct sur les antennes de France 3 Provence-Alpes et France 3 Côte d’Azur pour partager avec les habitants, de la région et d’ailleurs, cette épreuve exceptionnelle et mythique.

L’émission sera présentée par Michel Aliaga en compagnie de Philippe Rémond (double champion de France de marathon). Et pour vivre la course de l’intérieur : Noémie Dahan à moto, Virginie Dubois au col de la Gineste et Thierry Bezer, engagé avec les coureurs. Quant à Philippe Fabrègues il sera sur la ligne d’arrivée pour recueillir les premiers mots.

 

Parmi les invités : la première Française et le premier Français à franchir la ligne d’arrivée – les athlètes Marc Raquil et Mehdi Baala qui courent pour la première fois le Marseille-Cassis – Claude Ravel, président de la SCO Ste Marguerite – Danielle Milon, maire de Cassis – René Olmeta, vice-président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône – Nelson Monfort, journaliste à France Télévisions.

de 9h à 12h : l’émission en direct / de 9h à 13h30 : la ligne d’arrivée en direct et en continu


Marseille-Cassis 2013 : revoir l'émission spéciale par france3provencealpes

 

Suivre les commentaires en live de deux experts, Claire et Bastien Perraux, respectivement, athlète professionnelle et entraîneur.
Participez à l’ambiance sur le port de Cassis : bonus, photos et vidéos, tweets ..
Le hashtag pour envoyer vos tweets :  #F3Provence

Vous revoir passer la ligne d’arrivée !

Dès la fin de la course, muni de votre temps officiel vous pourrez accéder à ce service unique via notre site web provence-alpes.france3.fr
et en faire profiter vos amis votre famille au bout du monde ! C’est ici :


Ligne d'arrivée Marseille-Cassis 2013… par france3provencealpes