30 Jan

LE grand oeuvre de Donizetti à l’Opéra de Marseille

Lucia di Lammermoor, l’oeuvre tragique de Gaetano Donizetti, préfigure le romantisme italien et offre aux amateurs de belcanto les plus belles pages de son histoire.
Parmi les passages les plus connus de l’oeuvre, on reconnaîtra la longue « scène de la folie » où Lucia sombre dans une démence irréversible et le grand sextuor de l’acte II, page maîtresse de l’ouvrage qui annonce à lui seul les grands ensembles de Giuseppe Verdi. 
Au moment de la création de Lucia di Lammermoor, cela fait déjà quatre ans que Donizetti attend de connaître le succès à Paris. Seul Anna Bolena créé en 1831, reçoit un accueil digne de ce nom.

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C’est « Lucia » dont la première a lieu le 26 septembre 1835 au Teatro San Carlo de Naples qui lui offre un véritable triomphe et  la consécration tant attendue : il a su, comme personne avant lui, produire l’opéra romantique par excellence, l’œuvre dont toutes les facettes font étroitement écho à la sensibilité de l’époque. Pour preuve, c’est une représentation de Lucia que Flaubert décrit dans Madame Bovary et Tolstoï dans Anna Karenine. Cet ouvrage fera le tour du monde et sera joué, du vivant de l’auteur, jusqu’à la Havane ou Santiago du Chili.

L’opéra de Marseille qui n’avait pas reçu Lucia depuis 2007, propose ici une création en coproduction avec l’opéra de Lausanne dans une mise en scène de Fréderic Bélier-Garcia et sous la direction musicale d’ Alain Guingal. Les rôles titres seront joués alternativement par Zuzana Markova et Burcu Uyar pour le rôle de Lucia et Giuseppe Gipali et Arnold Rutkowski pour Edgardo.

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Mady Mesplé, inoubliable

 

28 Jan

Marseille : des épaves qui en disent long

L’Histoire engloutie sous la mer, un film de Valérie Simonet et René Heuzey
samedi 11 octobre à 15h20 sur France 3 Provence-Alpes
et en replay pendant un mois sur notre site web dès la fin de la diffusion.
Entretien avec sa réalisatrice, ci-dessous

Notre-Dame de La Garde veille sur la rade de Marseille mais malgré la dévotion des gens de mer, nombreux sont les navires qui reposent sous les eaux. A gratter le sable de la rade, on remonte l’histoire d’un port riche de 26 siècles de péripéties. Autour des îles comme  au pied du phare Planier, première vigie qui annonce l’approche de la côte, reposent des dizaines d’épaves, depuis les premiers bateaux à voile, en bois, qui amenèrent les Phocéens sur les rives du Lacydon, jusqu’aux cargos contemporains aux flancs en acier et aux moteurs puissants ou les avions de la dernière guerre mondiale. Une histoire figée dans le sable et la vase et  en miroir celle d’un port de commerce florissant.

Images extraites du film

En donnant la parole aux survivants des naufrages, gardiens de phare, sauveteurs et pêcheurs ; en mettant en scène des historiens, archéologues, un descendant de grand armateur ; en exhumant des dizaines de photos, d’archives filmées et de documents, Valérie Simonet raconte la saga d’un port de commerce qui a forgé la destinée d’une ville singulière.

Fille de la Méditerranée, plongeuse occasionnelle et marseillaise qui plus est, Valérie Simonet voue une passion contagieuse pour tout ce qui touche à la mer.
En découvreuse insatiable, c’est les yeux pétillants qu’elle a mené l’enquête comme si chaque trouvaille constituait pour elle un trésor inestimable.
Dans cette plongée à la rencontre de notre histoire enfouie, elle s’est adjoint le talent du cinéaste René Heuzey, spécialisé dans le tournage d’ images sous-marines.
Quel meilleur endroit que la digue du large à Marseille, pour évoquer ensemble les tours et détours de la chasse au trésor que fut ce tournage ?

Entretien avec Valérie Simonet


Entretien avec Valérie Simonet par france3provencealpes

 

Le film L’Histoire engloutie sous la mer sera diffusé le 15 février à 15:20 sur France 3 Provence-Alpes
et en replay pendant un mois sur notre site web dès la fin de la diffusion.
Une coproduction Pointe Sud productions, Ligne de Mire productions et France Télévisions

 

Un duo de professionnels au « cv » éloquent pour révéler les secrets de Marseille.

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La bio de Valérie Simonet

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La bio de René Heuzey

 

23 Jan

Pêcheurs d’Oursins, les derniers des Mohicans

un film de Valérie Simonet
Jeudi 17 avril à 18h00 à l’Alcazar, Marseille (entrée libre)
Première diffusion samedi 25 janvier sur France 3 Provence-Alpes
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Valérie Simonet est enfant du pays. La Méditerranée coule dans ses veines tout comme elle s’en est nourrie dès le plus jeune âge.
Quand on est d’ici, on a une histoire intime avec les choses de la mer et il est un met des plus délicat au goût de sel et d’algues, dont aucun Méditerranéen n’imaginerait pouvoir se passer. Pourtant, le mal couve : les oursins disparaissent et, pire encore, les pêcheurs d’oursins se font de plus en plus rares. Seraient-ils plus frileux ? … cette pêche se pratiquant aux jours les plus froids.

Fille, petite-fille et arrière petite-fille de pêcheurs d’oursins amateurs, Valérie Simonet s’est émue de cette situation et a mené l’enquête auprès de ses amis de toujours, ceux qui n’ont jamais raccroché la « fourchette ». L’équipement de l’oursinier comprend une sorte de harpon en forme de fourchette et un panier en maille. Elle a rencontré de jeunes fervents, prêts à relever le défi de la plongée en eau froide pour le bonheur de cette pêche miraculeuse. En questionnant des scientifiques penchés sur le chevet des échinodermes, elle a porté l’espoir d’un renouveau, car pour elle, le lien est là, fort et vivant avec ces fonds marins qui l’ont vu naître.

Nous nous sommes vues sur la Digue du Large à Marseille. Le temps était radieux, les vagues n’en faisaient qu’à leur tête en s’écrasant sur les blocs de béton qui constituent la digue. Elle m’a parlé de son film malgré un clapot très sonore…

 

Pêcheurs d’oursins, les derniers des Mohicans… par france3provencealpes

 

 

Pêcheurs d’oursins, les derniers des Mohicans est une coproduction
Pointe Sud ProductionLigne de Mire Production et France Télévisions.

Diffusion samedi 25/01/204 à 15:20
En replay pendant un mois sur le site web des documentaires

22 Jan

Dans les Coulisses de La Timone

Samedi 25 janvier à 16:15 sur France 3 Provence-Alpes
puis en replay sur notre site web dès la fin de sa diffusion

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Cette semaine, Chroniques du Sud – Coulisses – vous emmène dans le plus grand centre hospitalier de la région en plein coeur de Marseille, le très fameux établissement de La Timone. Une véritable ville dans la ville qui abrite 5000 personnes, dont 900 médecins qui y prennent en charge chaque jour quelques 1000 patients.

Que se passe-t-il lorsque la porte du service se ferme ? Quelle humanité subsiste au delà de cette formidable machinerie en fonctionnement continu ?
Autant de questions qui sont au coeur du documentaire de Valérie Simonet et qu’elle a bien voulu évoquer pour nous.

 

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Entretien

PZ : Pourquoi vous être intéressée à l’hôpital de La Timone ?

VS : Alors, tout d’abord, La Timone c’est  le premier hôpital de notre région et le deuxième hôpital français après La Pitié-Salpêtrière à Paris.
Nous avons eu envie d’aller voir ce que devient cet hôpital à un moment un peu crucial de sa vie, c’est-à-dire celui où il va déménager une partie de ses activités dans un bâtiment ultra-moderne, construit au sein-même de La Timone. Le principe de l’émission étant d’être là où le téléspectateur – le patient que l’on est tous potentiellement – ne se trouve pas, nous allons découvrir ce qui se passe lorsque la porte de l’hôpital est refermée. 
Avec les caméras de France 3, nous avons été en complète immersion et  avons vécu une semaine au rythme du  service de chirurgie vasculaire du Pr Piquet.
Comme nous étions dans un service de chirurgie de pointe, nous avons suivi une intervention au bloc opératoire, pour rendre compte du rôle de chacun – les infirmières, comment travaillent-elles, le professeur de chirurgie qui s’apprête à opérer, bref, des moments rares auquel personne n’assiste en temps normal. Evidemment on a pu comprendre le fonctionnement du service – comment travaillent ensemble les équipes – infirmières, aide-soignantes et médecins.

Un des volet important que l’on va découvrir dans ce film c’est que La Timone, à l’instar de tous les hôpitaux de l’Assistance publique de Marseille ont déjà déménagé une partie de leur activité hors de l’hôpital : dans une immense usine située dans les quartiers Nord qui a ouvert en avril 2013. C’est un énorme navire dans lequel on va retrouver les cuisines des cinq hôpitaux marseillais, leurs services de blanchisserie mais surtout, toute la stérilisation ainsi que les magasins généraux où l’on trouve ce qui est indispensable pour le bon fonctionnement d’un service hospitalier.

Et puis, nous faisons vivre également le déménagement de ce service puisque nous étions présents le jour où il avait lieu. On déménage des meubles bien sûr, du personnel mais aussi des malades. Et cela a donné lieu à un ballet de lits qui sont passés d’un bâtiment des années 70 à un tout nouveau bâtiment prêt à accueillir tout au long de l’année 2014, tous les services de chirurgie cardiaque et vasculaire ainsi que la réanimation et les urgences du centre-ville de Marseille. Un bâtiment donc promis à une très grande fréquentation.

Il me tenait à coeur de faire un parallèle entre toute cette machinerie hyper moderne qui est à l’oeuvre autour de l’hôpital et l’aspect fondamentalement humain qui l’essence même de l’activité hospitalière : comment on accueille un patient, comment on le reçoit, comment on le soigne avec cette question sous-jacente : est-ce que cette ultra modernité ne vient pas mettre de la distance entre le soignant et le malade ?

PZ : C’est peut-être le Professeur Piquet, le garant de cette humanité ?

VS : C’est un peu notre héros ! Il n’a pas du tout la personnalité du grand mandarin réputé inatteignable et qui fait trembler tout le monde ! C’est un homme qui a beaucoup d’humour, beaucoup d’empathie. A un moment, il m’a prise par la main et m’a dit : « Venez, je vais vous montrer quelque chose, hors caméra » et il m’a présentée à une famille dont le petit enfant de 5 ans avait été sauvé par le service après plusieurs AVC. Cela montre la dimension très humaine de ce personnage qui finalement soigne aussi bien un petit enfant de 5 ans que des gens beaucoup plus âgés. Preuve aussi de la qualité humaine de ce grand personnage de la médecine c’est l’attachement de l’ équipe qui l’entoure depuis plus de 10 ans.

Entretien réalisé par Pernette Zumthor 

Les Coulisses de la Timone sera diffusé samedi 25 janvier à 16:15 
puis en replay sur le site web de l’émission.

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20 Jan

Huit heures pour l’orientation

Dans une société où la performance est devenue une norme, le casse- tête du choix d’une filière pour le jeune ado est en passe de devenir le sujet d’angoisse favori des français. Quelle idée folle, dangereuse et étriquée que de répéter à nos enfants qu’hors les maths, point de salut ! Non seulement ce genre de ritournelle risque fort de tourner à la fabrique de névrosés mais elle anéantit d’emblée dans un jeune esprit, ce qui est facteur d’épanouissement : l’imagination.

 

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Une initiative qui « paie »

La Provence réitère cette année une initiative qui a porté ses fruits l’année dernière, preuve s’il en fallait que la cause n’est pas perdue : d’une part elle édite, en partenariat avec l’Onisep, un hors-série sur les métiers dans lequel sont répertoriées les « filières qui marchent », d’autre part, elle ouvre une « hotline » où les « candidats » aux infos pourront dialoguer avec des professionnels de l’orientation. Toutes questions que sont en droit de se poser les élèves et leurs parents parfois tout aussi désorientés. 
Quel métier ? Quelles études ?
Comment aider votre enfant à trouver un métier d’avenir ?
Quelles écoles pour devenir aide-soignante ou électricien ?
Quelles formations pour travailler sur le web ou dans l’environnement ?
Comment devenir infirmière, avocat, cuisinier, pompier, chauffeur de bus, paysagiste, enseignant, gendarme, opticien, sage-femme, ingénieur ?et des centaines d’autres métiers.

Le rendez-vous


Mercredi 22 janvier de 10:00 à 18:00 au 04 91 84 49 93
Dix conseillers d’orientation-psychologues et des spécialistes de l’ONISEP et d’Aix-Marseille Université seront à leur écoute.

 

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Le site de La Provence 

16 Jan

Danse : La tradition en mouvement

Au mois de février, le Pavillon Noir met à son programme de la danse traditionnelle indienne et japonaise.
Qu’elles se nomment Odissi ou Kamigata-mai, ces traditions ont leurs maîtres contemporains qui vouent tout leur talent à les ré-enchanter.

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Arushi MUDGAL, reprend  dans Sûtra, les oeuvres créatives de  trois générations de chorégraphes en danse Odissi.
Apparue dans la région d’Orissa, à l’est de l’Inde, cet art fut essentiellement pratiqué par les devadâsî, danseuses des temples dédiées à la divinité, mais aussi par de jeunes garçons, les gotipua.
Quoi qu’il en soit, l’Odissi évoque avant tout une vision indienne de la féminité.

Présente dans les festivals du monde entier, Arushi Mudgal a notamment été invitée en 2008 par Pina Bausch pour se produire au festival de danse de Düsseldorf.
Etoile montante de l’Odissi, elle est fascinante de jeunesse et de virtuosité. Sa grâce enthousiasme publics et medias.

 

Entretien

Extrait

SUTRA se jouera les 4 et 5 février à 20:30

Keiin YOSHIMURA, est passée maître dans l’art du  Kamigata-mai, une danse apparue au cours du 16ème siècle à Osaka et Kyoto,  fondée sur les danses traditionnelles que sont le Kabuki, le Nô ou le Kyogen.
Pendant cette période et durant les deux siècles que durera l’ère EDO, le Japon, à l’abri de conflits majeurs, verra fleurir des traditions devenues ancestrales comme l’arrangement floral, Ikebana, la cérémonie du thé, Chanoyu,  l’art de l’estampe,  Ukiyo ou encore le poème minimal que l’on connait sous le nom de Haiku. Le Kamigata-mai, né de cette même période faste est essentiellement pratiqué par des femmes qui y apportent sensibilité et délicatesse. Il se joue dans de petits espaces intimes propices à l’expression des sentiments profonds, à la différence du Kabuki plus dynamique, voire turbulent dédié à des audiences plus larges.

Keiin Yoshimura, accompagnée d’un danseur et d’un chanteur Jiuta, figure incontournable de la chanson populaire de la région de Kamigata, vit son art comme un poème spirituel sur la beauté originelle.

Entretien


Extrait de « Yashima » 

Le spectacle se jouera le 7 février à 20:30 et le 8 février à 19:30 

 

 

 

La Bonne Ame du Se-Tchouan

Du 29 janvier au 1er février, le théâtre de La Criée présente la nouvelle création de Jean Bellorini,  figure montante de la jeune génération théâtrale. En mettant en scène La Bonne Ame du Se-Tchouan de Brecht, il s’attaque à un « monument » du théâtre du 20ème siècle achevé en 1940 ; un texte d’interrogations face à l’existence de l’homme, un texte politique associé au mystère de la poésie…
©pologarat-odessa

©pologarat-odessa

Une fête théâtrale intense et profonde.

Jean Bellorini a rêvé un spectacle simple, drôle et terrible aussi. Une danse, un bal, porteur d’une grâce légère et d’une force violente. Des chansons et un esprit de fanfare porté par une troupe débordante et créative une grande famille de 18 comédiens et Macha Makeïeff pour en imaginer les costumes.

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Participez pour gagner vos places pour une des représentations de la Bonne Ame du Se-Tchouan

Extrait

Toutes les infos sur le site de La Criée 

Jean Bellorini vient d’être nommé directeur du théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis (Centre dramatique national)

Presse

Créée à Zurich en 1943, La Bonne Ame du Se-Tchouan, appartient au cycle des grandes pièces écrites par Brecht en exil – Mère Courage, Maître Puntila, La Résistible ascension d’Arturo Ui. […] Il suffit qu’un jeune metteur en scène de 30 ans – Jean Bellorini – la revisite pour qu’elle retrouve ses couleurs de fable épique et lyrique, magnifique et bouleversante, désespérée et joyeuse. Voire de conte tragique et merveilleux. Le spectacle dure plus de trois heures. On ne les voit pas passer, incapable de résister à ce même bonheur déjà éprouvé lors des précédents spectacles de Jean Bellorini. Le bonheur de vivre des belles et grandes histoires racontées sur le mode naïf, riches d’images poétiques et de pure émotion. Ce qui n’interdit pas la réflexion. La définition du théâtre populaire ?

La Croix

Jean Bellorini dans l’Humeur Vagabonde de Kathleen Evin
Ecouter l’émission

15 Jan

Baron Samedi, la dernière création d’Alain Buffard

 

Le Pavillon Noir d’Aix-en-Provence a de tout temps soutenu le travail de ce chorégraphe dont on déplore la disparition depuis le 21 décembre dernier.
Inscrite dans la programmation depuis plusieurs mois, sa dernière création Baron Samedi sera jouée par sa troupe du 30 janvier au 1er février prochains.

Ni tout à fait danse, ni tout à fait théâtre, cette pièce radicale et musicale est construite autour de l’étrange personnage du Baron Samedi. Dans le panthéon vaudou, ce personnage favorise le passage de la vie à trépas avec son lot d’audace, d’obscénité parfois et d’outrances. Il porte le frac et le haut-de-forme et entraîne tout un monde cosmopolite à le suivre dans ses débordements.
Ici pas de transe pour les artistes, chanteurs, danseurs ou musiciens, mais une parade de joyeux déshérités,  hommes et femmes tapis dans l’ombre d’une société trouble, qui espèrent, pour quelques minutes, entrer dans la lumière…

Pour gagner vos places, participez à notre jeu

 

Entretien

« Alain Buffard aime transgresser les frontières de la danse pour inventer un univers ouvert à l’art contemporain, la vidéo et la performance.
Son parcours aux allures d’école buissonnière est jalonné de rencontres décisives : Alwin Nikolais qui lui enseigna la danse au CNDC d’Angers, Daniel Larrieu et Régine Chopinot dont il fut l’interprète, Claude Régy avec lequel il mit en scène Les Maîtres chanteurs de Wagner, la performeuse Anna Halprin à laquelle il consacra un film, 
My Lunch with Anna »…

Extrait de Self & Others (séquence Thriller) Ménagerie de Verre, Paris 2008

 

le site de la compagnie 

Pour aller plus loin, lire l’article de CultureBox