06 Oct

Clermont-Ferrand: Olivier Bianchi face à ses administrés, le 24 octobre

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Alors qu’il vient de passer le cap des six mois à la tête de la ville, le maire socialiste de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a accepté de débattre avec les internautes, le 24 octobre prochain. Si vous souhaitez discuter avec lui, si vous avez des questions à lui poser, des remarques à formuler, des idées à lui suggérer, France 3 Auvergne vous offre la possibilité de lui dire directement.

Le 24 octobre prochain, Olivier Bianchi vous donne rendez-vous à 17h30 pour un tchat vidéo et écrit.

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05 Sep

Le socialiste Alexandre Pourchon soutient François Hollande et le Gouvernement « par conviction, pas par obligation »

Alexandre PourchonQuand Alexandre Pourchon passe en revue les sujets d’actualité de la rentrée, ce n’est pas la page people qui l’intéresse le plus. Pourtant, questionné sur la sortie du brûlot de Valérie Trierweiler dans lequel elle raconte ses huit années de vie auprès de François Hollande, le premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste du Puy-de-Dôme a pris quelques secondes pour donner son sentiment. Il voit dans le livre, intitulé « Merci pour ce moment », « un tissu de conneries qui ne mérite aucun commentaire« . « La vie privée des gens ne m’intéresse pas« , ajoute-t-il en précisant que le portrait de François Hollande dressé par son ex compagne ne correspond pas au personnage qu’il connaît depuis de longues années.

Si François Hollande n’allait pas au bout de son mandat, ce serait une catastrophe pour le parti socialiste.

Le chef de l’Etat a vécu une semaine compliquée, ponctuée par un nouveau sondage qui le place au plus mal dans l’opinion que les Français ont de lui. Selon TNS-Sofres, la cote de popularité de François Hollande est tombée à 13%. Une crise de confiance qui fait naître ici et là un scénario: celui d’une possible démission. Alexandre Pourchon balaie l’hypothèse d’un revers de la main, il ne pense pas l’issue plausible pour une simple raison: « si François Hollande n’allait pas au bout de son mandat, ce serait une catastrophe pour le Parti Socialiste« .

Les socialistes ont changé leur vision du monde économique.

Alexandre Pourchon soutient le Président et le gouvernement « par conviction, pas par obligation » mais il regrette que ce qui a été fait depuis la prise du pouvoir ne soit pas mieux mis en avant. Et le conseiller général de pointer du doigt un problème récurrent chez les socialistes: « quand on fait des choses biens, on ne sait pas en parler« . « On ressent un vrai malaise au sein du PS », reconnaît-il mais le virage social-libéral pris par le François Hollande ne lui déplait pas, bien au contraire. « Les socialistes ont changé leur vision du monde économique« , poursuit-il, expliquant que sa formation politique « a besoin d’être dépoussiérée« .

La réforme territoriale? J’en attendais beaucoup plus.

Au cours de la matinée, l’élu du Puy-de-Dôme a également évoqué son avenir personnel. Alexandre Pourchon se sent à l’étroit, aujourd’hui, dans son habit de conseiller général. S’il a bien eu une discussion « en tête-à-tête » avec René Souchon, avant l’annonce de la fusion des régions, pour lui présenter sa manière de voir les choses, la réforme territoriale voulue par Manuel Valls a changé la donne. Pas avare de critiques: « il fallait d’abord travailler sur les compétences, la méthode choisie n’a pas été la bonne », Alexandre Pourchon précise qu’il attendait « beaucoup plus » de cette réforme. Une petite déception qui n’a guère d’emprise sur son ambition. Est-ce qu’il a « l’envie, la gnaque » pour projeter la collectivité vers l’avenir ? « Pour le Département, non. Pour la Région, oui« . L’Auvergnat n’a pas fait une réponse de Normand.

 

 

29 Avr

Les députés PS Alain Calmette et Odile Saugues soutiennent le Plan Valls dans une tribune

« Nous souhaitons la réussite du quinquennat« . « Nous« , ce sont vingt-et-un députés socialistes, dont la Puydômoise Odile Saugues et le Cantalien Alain Calmette, qui ont signé une tribune dans le JDD du 27 avril. Dans ce texte, ils expliquent qu’ils voteront « mardi le programme de stabilité parce qu’il engage [notre] souveraineté financière, [notre] crédibilité politique et [notre] responsabilité collective« . Continuer la lecture

31 Mar

La gauche clermontoise chante et danse à la Coopé de Mai

Quelques heures après l’officialisation de la victoire d’Olivier Bianchi à Clermont-Ferrand, la gauche s’est réunie là où elle a pris l’habitude de fêter ses victoires: à la Coopérative de Mai. Même si le succès n’est pas à la hauteur de leurs espérances, Olivier Bianchi et ses amis, Alain Laffont en tête, ont trinqué ensemble dans la nuit, n’hésitant pas à afficher une image de franche camaraderie devant les caméras.

Dans les prochaines semaines, l’ambiance sera probablement moins festive au conseil municipal. Olivier Bianchi ne peut ignorer, tant il lui a répété ces derniers jours, qu’Alain Laffont défendra bec et ongles le programme qui lui a permis d’obtenir 11,5% des voix clermontoises au premier tour.

27 Mar

Clermont-Ferrand: Quand les colistiers d’Olivier Bianchi tweetent leur désaccord durant le débat

Avant le premier tour, le candidat socialiste à la mairie de Clermont-Ferrand est allé chercher les communistes et les a invités à rejoindre sa liste. Sur la manière de gérer la ville, les deux partis ne sont pas d’accord sur tout mais ont fini par s’entendre sur certains points. Entre les deux tours, Olivier Bianchi est allé chercher le reste du Front de Gauche et a demandé à Alain Laffont de rejoindre sa liste. Accord conclu, voilà le leader de la Gauche Anticapitaliste et ses idées, souvent loin d’être les mêmes que celles de son nouveau chef de file, en troisième position.

Mais quand on s’allie avec des personnalités qui veulent conserver, à tout prix, leur liberté de penser et de parler, on peut se retrouver mêlé à une bien surprenante cacophonie. Jeudi, le candidat socialiste a débattu devant les caméras de France 3 Auvergne avec ses deux concurrents dans la course à la mairie de Clermont-Ferrand: Jean-Pierre Brenas (UMP) et Antoine Rechagneux (FN). Interrogé sur sa politique environnementale, Olivier Bianchi a expliqué qu’il souhaitait « la gratuité des transports les jours de pic » de pollution dans la ville. Alors que Jean-Pierre Brenas lui demandait pourquoi cela n’avait pas été fait lors du récent pic, à quelques mètres de là, dans le public, deux tweets ont fusé.

C’est Alain Laffont qui a dégainé le premier en rappelant que, dans son propre programme qu’il continuera de défendre malgré l’union, il souhaitait « les transports en commun gratuits tous les jours« .

Quelques secondes plus tard, c’est un autre « ami » d’Olivier Bianchi qui s’est permis de nuancer les propos de sa tête de liste. Toujours au sujet de la gratuité des transports en commun, le communiste Cyril Cineux, 5ème sur la liste d’union de la gauche, a rappelé que la question sera « DÉBATTU » (en majuscule dans le tweet) avec les Clermontois à l’occasion des assises des transports promises par Olivier Bianchi.

En cas de victoire dimanche, la gauche n’a pas fini de débattre…

18 Mar

Municipales 2014: les enjeux à Montluçon (Allier)

Avec ses 38 166 administrés selon les derniers chiffres de l’INSEE, Montluçon est la deuxième plus grande ville d’Auvergne. Mais elle occupe la première place en termes de chômage avec un taux qui dépasse les 12 %.

L’emploi est donc au cœur des débats dans cette campagne municipale et chacun a son idée sur la question. Le Front de Gauche, par la voix de Nelly Depriester, ne veut pas tout miser sur l’industrie. Le candidat socialiste, Frédéric Kott, veut une politique plus volontariste quand le Divers Gauche Abdou Diallo voit dans le numérique un potentiel d’emplois à exploiter. Le maire sortant UMP, Daniel Dugléry, rappelle quant à lui que les collectivités locales ne sont pas là pour créer des emplois mais pour accompagner les entreprises sur cette voie-ci. Continuer la lecture

Beaumont (63) : l’art délicat du montage photo expliqué par la liste PS-EELV-Front de Gauche

Une photo de famille est un moment toujours particulier. Quand on parvient à réunir tout le monde, il faut ensuite espérer que chacun des participants offrira son plus beau regard, son plus beau sourire, dans le 1/50ème de seconde correspondant à l’immortalisation du moment. Il n’est pas rare de s’y reprendre à plusieurs fois, voire de finir par abandonner en se contentant d’une réussite à hauteur de 50%. Fort heureusement, avec l’arrivée du numérique, les logiciels de retouches d’images ont permis de régler le premier des soucis: celui de l’absence de certains membres.

A Beaumont, quand on regarde de près la photo de l’équipe menée par le maire divers gauche sortant, François Saint-André, on peut penser que certains colistiers n’étaient pas présents le jour J. La retouche photo a, semble-t-il, été utilisée pour faire apparaître les absents. Mais c’est un art délicat, la moindre erreur peut vite…sauter aux yeux.

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Si vous constatez d’autres anomalies sur cette photo que nous n’aurions pas vues, n’hésitez pas à nous en faire part !

17 Mar

Najat Vallaud-Belkacem à Clermont-Ferrand mercredi pour soutenir Olivier Bianchi

AFP PHOTO / ERIC FEFERBERG

AFP PHOTO / ERIC FEFERBERG

A moins d’une semaine du premier tour des élections municipales, chaque candidat cherche à faire venir sur ses terres une figure nationale de la politique. Alors que l’UMP Jean-Pierre Brenas a reçu successivement, à Clermont-Ferrand, la visite de Nora Berra puis de Laurent Wauquiez, alors que Michel Fanget (MoDem) a convaincu le député Jean Lassalle à venir marcher au pied des puys, alors qu’Arnaud Montebourg a répondu à la sollicitation du député Bernard Lesterlin, candidat socialiste à Commentry (Allier), Olivier Bianchi a annoncé lundi la venue le 19 mars de Najat Vallaud-Belkacem.

Ministre des Droits des Femmes et porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem est annoncée par la tête de liste socialiste à 18h sur la place de Jaude à Clermont-Ferrand.

11 Mar

Michèle Delaunay à Chamalières: « Comme les aborigènes, je retourne là d’où je suis partie »

« Comme les aborigènes, je retourne là d’où je suis partie« , c’est ainsi que Michèle Delaunay a décrit sur Twitter son voyage en terre connue effectué mardi. La Ministre Déléguée, chargée des Personnes Âgées et de l’Autonomie, native de Clermont-Ferrand, a retrouvé sa terre natale avant d’aller soutenir le candidat socialiste à Chamalières. Dommage pour une des « geeks » du gouvernement que son tweet fasse apparaître un « Chamallières » avec deux « L ».

Une petite faute qui, souhaitons-le pour la liste menée par Eric Spina, n’aura pas de conséquences le jour du scrutin. Inviter un membre du gouvernement n’est déjà pas courant de nos jours, mais si, en plus, il écorche le nom de la commune, ça pourrait renforcer cette impopularité dont Michèle Delaunay estime avoir la chance de ne pas souffrir, elle reconnait même être très sollicitée.